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French to German: Les années en tant que gouverneur de la province du Kazakhstan oriental Detailed field: Government / Politics
Source text - French Le 8 décembre 2004, le président Nazarbayev téléphona à Viktor Khrapunov. Il exprima sa vive inquiétude à l’égard du Kazakhstan oriental, région en proie aux pires difficultés économiques et industrielles. Il flatta le maire d’Almaty en lui disant que seul un gestionnaire de crise expérimenté comme lui, un poids lourd politique, un homme à la réputation sans taches, un réformateur infatigable ne reculant devant aucune difficulté pourrait améliorer la situation de cette Province. Le maire d’Almaty hésita. Le président insista en lui disant que son mandat ne dépasserait pas une année. Viktor Khrapunov comprit qu’il n’avait pas le choix. Le lendemain, il fut nommé gouverneur du Kazakhstan oriental. Sur le papier, il s’agissait d’une promotion. Dans les faits, Viktor Khrapunov l’empêcheur de tourner en rond était mis hors d’état de nuire. Lui parti, Almaty fut livrée sans défense à l’appétit de la famille Nazarbayev. En quelques mois, la ville brada ses infrastructures aux moins offrant. Ceux qui avaient travaillé à l’exil de l’ancien maire purent jubiler et mettre en œuvre leurs desseins malhonnêtes.
De décembre 2004 à janvier 2007, après 35 ans passés à Almaty, Viktor Khrapunov retrouva ainsi sa province d’origine, l’une des plus étendues du Kazakhstan avec une superficie de 283’000 km2. Et l’une des plus industrielles, avec 20% de la production totale du pays (entreprises sidérurgiques, usines de transformation du minerai de plomb et du minerai de zinc, combinat de titane et de magnésium, etc.). Lorsqu’il prit ses nouvelles fonctions, la région figurait cependant, malgré son potentiel, au dernier rang de tous les classements officiels permettant de comparer entre elles les grandes villes et les provinces du pays. Et de nombreuses entreprises avaient déjà été accaparées par la famille Nazarbaïev, notamment les sociétés Kazzinc (Combinat de plomb et de zinc), le Combinat de titane et de magnésium (TMK), Kazakhmys (entreprise d’extraction et de production de métaux non ferreux), l’Usine d’armature d’Oust-Kamenogorsk (fabrication d’installations techniques pour le réseau gazier), la Cimenterie de Bukhtarma et celle de Semipalatinsk
Sans tarder, le gouverneur se mit au travail : il géra les crises et les pannes, investit les moyens nécessaires dans les infrastructures énergétiques afin d’améliorer l’approvisionnement en électricité, dota les grandes villes de nouveaux plans directeurs, supprima la bureaucratie liée à la création d’entreprises, promut la construction de nouveaux logements, favorisa la renaissance d’une industrie agroalimentaire et de produits laitiers, rétablit la liaison fluviale par hydroglisseurs entre les deux principales villes de la province, fit construire une usine moderne de transformation de bois afin d’exploiter les importantes ressources forestières de la région, etc. Avantage de son isolement aux confins du pays : il eut les coudées franches pour agir et réformer pour le bien de la population.
Pour régler les problèmes les plus graves (alimentation en eau chaude de chauffage dans plusieurs villes), il fit intervenir des scientifiques émanant des meilleurs instituts spécialisés d’Almaty (Institut de recherche scientifique et de projet Energoprom, Institut de recherche scientifique en Energie Chokin, Institut Energie). Il obtint également du Premier ministre la décision de construire à Semipalatinsk une nouvelle centrale thermoélectrique (le projet sera gelé après son départ).
Les conséquences ne tardèrent pas à se faire sentir pour les habitants de la Province. Leur quotidien s’améliora. Le travail de Viktor Khrapunov lui valut une reconnaissance officielle. Une année après son arrivée, la région remonta au 3e rang du classement national des villes et régions du Kazakhstan. En parallèle, Almaty, qui occupait la première place au moment de son départ, chuta au 7e rang. Après deux ans de travail acharné, Viktor Khrapunov réussit à faire remonter la région du Kazakhstan oriental au 2e rang des classements.
Le désintérêt du Président pour cette Province laissa une grande marge de manœuvre au gouverneur, mais ce dernier dut cependant, durant toute la durée de son mandat, affronter les pressions de Dariga Nazarbayeva, la fille du président, qui considérait cette région comme son fief.
Les tensions avec la fille du président remontaient aux années passées à la mairie d’Almaty. Viktor Khrapunov s’était refusé à bourrer les urnes à la demande de Dariga, empêchant le parti de cette dernière (Asar), nouvellement créé, de remporter tous les sièges de la ville aux élections de 2004. Dariga le prit très mal. C’est à cette époque qu’elle commença à affirmer publiquement que Viktor Khrapunov était son pire ennemi. Au Kazakhstan oriental aussi, Viktor Khrapunov refusa de se soumettre aux volontés de Dariga Nazarbayeva qui voulait y placer ses hommes, y piller toutes les richesses naturelles encore disponibles (par exemple les mines d’or) – autrement dit, celles pas encore accaparées par son père. Viktor Khrapunov s’y opposa, empêchant ainsi Dariga de réaliser ses projets malhonnêtes.
Dariga Nazarbayeva ne recula devant aucune manipulation pour garder la mainmise sur cette région et nuire à la réputation de son gouverneur. Elle monta notamment des campagnes de diffamation dans les médias sous son contrôle, par exemple le jour même de la nomination de Viktor Khrapunov à ses nouvelles fonctions. Ce jour-là, il faisait moins 40 degrés et la neige s’entassait sur deux mètres de hauteur. Cela n’empêcha pas Dariga Nazarbayeva de faire publier le reportage que vous pouvez voir ici (lien). Aux conditions pluvieuses, on comprend qu’il avait été tourné longtemps auparavant et que les faits sont présentés de manière on ne peut plus tendancieuse.
Pendant des années, Viktor Khrapunov avait eu le sentiment que son attitude intransigeante à l’égard de tous, y compris les membres de la famille présidentielle, était acceptée et même respectée par le président lui-même. Après tout, pour l’image du pays, à l’intérieur comme à l’extérieur, un ministre qui réformait et augmentait les recettes fiscales, même s’il mettait des bâtons dans les roues des spoliateurs de tous poils qui s’accaparaient les ressources du pays, cela pouvait rendre service. Mais durant la période passée au Kazakhstan oriental, il sentit que le vent avait tourné. Il comprit que l’histoire allait se répéter et que, comme à Almaty, on ne le laisserait jamais faire ce qu’il voulait.
Cette intuition se confirma en janvier 2007. Le président l’appela par surprise pour lui proposer le poste de Ministre des situations d’urgence. Viktor Khrapunov s’y opposa. Il fit valoir qu’il avait déjà été ministre et que le poste proposé était de peu d’envergure, sans intérêt. Il rappela également au président que, au vu de ce qui était arrivé aux deux premières personnes qui avaient occupé ce poste (Z. Nurkadilov avait été assassiné ; Sh. Kulmachanov, suite à une rocade, avait été définitivement écarté de la vie politique du pays), on ne pouvait pas considérer ce ministère comme une promotion… Il lui expliqua enfin que le programme de redressement de la région du Kazakhstan oriental était très prometteur et qu’il voulait y rester encore trois ans pour assurer sa pérennité. Mais le président imposa sa volonté : Viktor Khrapunov résista autant qu’il put mais, une fois de plus, il comprit qu’il n’avait d’autre choix que se soumettre et quitter son fauteuil de gouverneur.
Dans ce cas comme dans cent autres, le choix du président répond à une seule et unique exigence : plaire à sa fille. Et les besoins de la population ? Ils n’ont pas de place dans son mode de fonctionnement, fondé sur le réflexe clanique, la soif de pouvoir absolu et l’enrichissement personnel. Ce dysfonctionnement majeur du système politique kazakh est vouée à perdurer aussi longtemps que les principaux dirigeants du pays seront directement choisis et nommés par le président. Raison pour laquelle Viktor Khrapunov propose de remplacer ce système archaïque et digne d’une république bananière par l’élection directe par le peuple de tous les maires et gouverneurs du pays. Il s’agit d’une réforme indispensable pour que le Kazakhstan retrouve enfin le chemin de la démocratie.
Translation - German Am 8. Dezember 2004 erhielt Viktor Khrapunov einen Anruf von Präsident Nasarbajew. Dieser äußerte tiefe Besorgnis hinsichtlich des Osten Kasachstans, einer Region, die unter schlimmsten wirtschaftlichen und industriellen Schwierigkeiten litt. Er schmeichelte dem Bürgermeister von Almaty, indem er betonte, dass nur ein erfahrener Krisenmanager wie er, ein politisches Schwergewicht, ein Mann mit fehlerlosem Ruf, ein unermüdlicher Reformer, der vor keinem Problem zurückschreckt, die Situation dieser Provinz verbessern könne. Der Bürgermeister von Almaty zögerte. Der Präsident blieb hartnäckig und versicherte ihm, sein Mandat würde nicht länger als ein Jahr dauern. Viktor Khrapunov erkannte, dass er keine Wahl hatte. Am nächsten Tag wurde er zum Gouverneur der Provinz Ost-Kasachstan ernannt. Auf dem Papier handelte es sich um eine Beförderung. Aber Fakt war, dass der Störfaktor Viktor Khrapunov dadurch aus der Gefahrenzone befördert wurde. Nach seinem Weggang war Almaty wehrlos der Geldgier der Familie Nasarbajew ausgeliefert. Innerhalb weniger Monate verschleuderte die Stadt ihre Infrastruktur an den Niedrigstbietenden. Diejenigen, die sich um die Verbannung des früheren Bürgermeisters bemüht hatten, konnten triumphieren und ihre ehrlosen Pläne in die Tat umsetzen.
Nach 35 Jahren in Almaty befand sich Viktor Khrapunov von Dezember 2004 bis Januar 2007 wieder in seiner Heimatprovinz, einer der großflächigsten Provinzen Kasachstans, mit einer Fläche von 283.000 km2. Und eine der am stärksten industrialisierten Regionen, mit einem Anteil von 20 % an der Gesamtproduktion des Landes (Stahl- und Metallverarbeitende Unternehmen, Weiterverarbeitungsbetriebe für Bleierz und Zinkerz, Titan- und Magnesium-Kombinate usw.). Als er sein neues Amt antrat, rangierte die Region trotz ihres Potentials auf dem letzten Platz aller offiziellen Ranglisten, die dem Vergleich von Städten und Provinzen des Landes dienten. Und zahlreiche Unternehmen waren bereits von der Familie Nasarbajew in Beschlag genommen worden, darunter die Unternehmen Kazzinc (Blei- und Zink-Kombinat), das Kombinat für Titan und Magnesium (TMK), Kazakhmys (Unternehmen für den Abbau und die Produktion von Nichteisenmetallen), die Gerüstfabrik Ost-Kamenogorsk (Herstellung technischer Anlagen für das Gasversorgungsnetz), die Zementfabriken Bukhtarma und Semipalatinsk.
Der Gouverneur machte sich unverzüglich an die Arbeit: Er steuerte und kontrollierte Krisen und Störfälle, investierte die erforderlichen Mittel in die Energieinfrastruktur, um die Stromversorgung zu verbessern, stellte neue Masterpläne für die Großstädte auf, verringerte die mit der Gründung neuer Unternehmen verbundene Bürokratie, förderte den Wohnungsbau, unterstützte das Wiederaufleben der Industrie von Lebensmitteln und Milchprodukten, stellte die Flussverbindung zwischen den beiden wichtigsten Städten der Region mittels Luftkissenbooten wieder her, ließ eine moderne Fabrik für Holzverarbeitung bauen, um die großen Waldressourcen der Region zu nutzen und vieles mehr. Der Vorteil seiner isolierten Position in den Randgebieten des Landes war, dass er die Freiheit besaß, zu handeln und Reformen zum Wohl der Bevölkerung einzuführen.
Zur Lösung der gravierendsten und dringlichsten Probleme wie etwa der Warmwasserversorgung in mehreren Städten, zog er Wissenschaftler aus den besten, spezialisierten Instituten Almatys hinzu, zum Beispiel aus dem Institut für wissenschaftliche Forschung sowie des Projekts Energoprom, vom Wissenschaftlichen Forschungsinstitut für Energie Chokin, Institut für Energie. Außerdem erhielt er vom Premierminister den Auftrag, ein neues Heizkraftwerk in Semipalatinsk zu bauen (nach seinem Abtreten sollte das Projekt auf Eis gelegt werden).
Die Folgen waren schon bald darauf für die Einwohner der Provinz spürbar. Ihr Alltag verbesserte sich. Die Arbeit Viktor Khrapunovs brachte ihm offizielle Anerkennung ein. Ein Jahr nach seiner Ankunft stieg die Region auf den 3. Platz des nationalen Rankings der Städte und Regionen Kasachstans auf. Gleichzeitig fiel Almaty, das bei seinem Abschied den ersten Platz belegt hatte, auf Rang 7 zurück. Nach zwei Jahren intensiver Arbeit gelang es Viktor Khrapunov, die Region Ost-Kasachstan auf den 2. Platz der Rangliste zu bringen.
Das Desinteresse des Präsidenten an dieser Provinz ließ dem Gouverneur einen großen Handlungsspielraum, aber Letzterer musste sich dafür während seiner gesamten Amtszeit dem Druck der Präsidententochter, Dariga Nasarbajewa, die Stirn bieten, die diese Region als ihr Reich betrachtete.
Die Spannungen zwischen ihm und der Tochter des Präsidenten reichten bis in die Zeit im Bürgermeisteramt von Almaty zurück. Viktor Khrapunov hatte sich geweigert, die Wahlurnen auf Darigas Wunsch hin zu füllen, was verhinderte, dass deren neugegründete Partei (Asar) bei den Kommunalwahlen 2004 sämtliche Plätze im Stadtrat belegte. Dariga nahm das übel. Damals begann sie, öffentlich zu erklären, dass Viktor Khrapunov ihr schlimmster Feind sei. Auch in der östlichen Provinz Kasachstans lehnte Viktor Khrapunov ab, sich Dariga Nasarbajews Willen zu beugen, die vor Ort ihre Leute einsetzen wollte, um alle noch verfügbaren, natürlichen Bodenschätze zu heben, beispielsweise die Goldminen – mit anderen Worten, jene, die sich ihr Vater noch nicht einverleibt hatte. Viktor Khrapunov leistete Widerstand und verhinderte damit, dass Dariga ihre unredlichen Projekte durchführen konnte.
Dariga Nazarbayeva schreckte vor keiner Manipulation zurück, um die Kontrolle über die Region zu gewinnen und den Ruf des Gouverneurs zu beschädigen. Sie initiierte Hetzkampagnen in den von ihr kontrollierten Medien, zum Beispiel am Tag der Amtsernennung von Viktor Khrapunov. An diesem Tag herrschten minus 40 Grad, und der Schnee war bis zu zwei Meter hoch aufgetürmt. Das hinderte Dariga Nasarbayewa nicht an der Ausstrahlung einer Reportage, die Sie hier sehen können (Link). An dem regnerischen Wetter lässt sich erkennen, dass diese Reportage lange im Voraus gedreht worden war, und die präsentierten Fakten höchst tendenziös dargestellt werden.
Viktor Khrapunov hatte jahrelang angenommen, dass seine generell kompromisslose Haltung, einschließlich gegenüber den Mitgliedern der Präsidentenfamilie, akzeptiert und sogar vom Präsidenten selbst respektiert wurde. Schließlich war ein Minister, der Reformen durchführte und die Steuereinnahmen erhöhte für das Image des Landes, sowohl im Land als auch im Ausland, vorteilhaft und nützlich, auch wenn er sich den Plünderern jeder Couleur, die sich der Ressourcen des Landes bemächtigten, in den Weg stellte. Aber während seiner Zeit in Ost-Kasachstan merkte er, dass sich der Wind spürbar gedreht hatte. Ihm wurde klar, dass sich die Geschichte wiederholen würde und dass man ihn, genau wie in Almaty, niemals seine Pläne umsetzen lassen würde.
Diese Ahnung bewahrheitete sich im Januar 2007. Der Präsident rief ihn überraschend an und schlug ihm den Posten des Ministers für Notstands- und Krisensituationen vor. Viktor Khrapunov widersetzte sich. Er führte an, dass er bereits Minister sei, und dass das vorgeschlagene Amt wenig Format und Tragweite habe. Er erinnerte den Präsidenten auch daran, dass man dieses Ministeramt im Licht dessen betrachtet, was den beiden Vorgängern in dieser Position passiert war, (Z. Nurkadilov wurde ermordet; Sh. Kulmachanov wurde über Umwege endgültig aus dem politischen Geschehen des Landes ausgeschlossen) kaum als Beförderung betrachten könne… Er erklärte ihm weiter, dass das Programm zur Sanierung Ost-Kasachstans sehr vielversprechend voranschritt, und dass er weitere drei Jahre dortbleiben wolle, um seine Nachhaltigkeit sicherzustellen. Aber der Präsident zwang ihm seinen Willen auf: Viktor Khrapunov wehrte sich, so gut er konnte, musste jedoch einmal mehr erkennen, dass er keine andere Wahl hatte, als sich zu beugen und seinen Amtssessel als Gouverneur zu verlassen.
In diesem, wie in vielen hundert anderen Fällen, entsprach die Entscheidung des Präsidenten einzig und allein dem Anspruch, seine Tochter zufrieden zu stellen. Und die Bedürfnisse der Bevölkerung? Sie haben keinen Platz in seiner Denkweise, die auf der reflexhaften Clan-Zusammenhörigkeit basiert, auf der Gier nach absoluter Macht und persönlicher Bereicherung. Dieses schwerwiegende Problem im politischen System Kasachstans wird solange anhalten, wie die wichtigsten Führungspersonen des Landes direkt durch den Präsidenten ausgewählt und ernannt werden. Aus diesem Grund schlägt Viktor Khrapunov vor, dieses archaische und einer Bananenrepublik würdige System durch direkte Wahlen der Bürgermeister- und Gouverneursämter durch das Volk zu ersetzen. Diese Reform ist unerlässlich, damit Kasachstan endlich den Weg zurück zur Demokratie finden kann.
English to German: Biography
Source text - English On November 26, 1997, Viktor Khrapunov defended his doctoral thesis on the economic reforms of the City of Almaty in transition towards a market economy, and was awarded the title of doctor (PhD candidate) by the Scientific Council of the National Academy of Administration of Almaty. Over the following years, he wrote his capacitation thesis by expounding on the same subject. On October 4, 2000, he defended his second thesis before the Scientific Council of the same Academy, to receive his title as Doctor of Economics.
On December 8, 2004, President Nazarbayev called Viktor Khrapunov. He expressed his deep concern for eastern Kazakhstan, the region suffering the worst from economic and industrial problems. The President flattered the Mayor of Almaty by saying that only an experienced crisis manager such as himself, a political heavyweight, a man with a spotless reputation, a tireless reformer who would never shrink before any hardship could improve the situation of this Province. The Mayor of Almaty was undecided. The President insisted, telling him that his term would not go beyond one year. Viktor Khrapunov understood that he had no choice. The next day, he was appointed governor of Eastern Kazakhstan. On paper, it was a promotion. In reality, the goal of this transfer was to make the troublemaker Viktor Khrapunov run around in circles where he could do no harm. With him gone, Almaty was delivered defenseless to the appetite of Nazarbayev family. Within months, the city sold off its infrastructure to the lowest bidders. Those who were working in exile of the former mayor could rejoice.
From December 2004 to January 2007, after 35 years in Almaty, Viktor Khrapunov found himself back in his home province. When he took on his new job, the region was last in every official classification that allowed for comparison between large cities and provinces. The governor got down to work: he handled crises, invested in energy infrastructure, removed the bureaucracy tied to creating businesses, promoted the building of new housing, stimulated the rebirth of the food industry, etc. As an advantage of his location at the far reaches of the country, he had the freedom to act and reform for the good of the people.
Results quickly emerged for the people of the Province. Their daily lives improved. His work earned him official recognition. After one year there, the region climbed back into 3rd position in the same classification. Simultaneously, Almaty, which had been in first position, fell to 7th place. After his second year in the province, the region took second ranking. While the President’s lack of interest in this Province left room for the Governor to maneuver, throughout this period, the Governor still had to face pressure from Dariga Nazarbayeva, the President’s daughter, who considered this area as her territory.
Tensions with the President’s daughter went back to the years he spent as mayor of Almaty. Viktor Khrapunov refused to stuff the ballot boxes as requested by Dariga, preventing her newly-created party to take all the seats of the city in the 2004 elections. Dariga took this very badly. This was the time when she began to publicly state that Viktor Khrapunov was her worst enemy. In Eastern Kazakhstan as well, Viktor Khrapunov refused to submit to the will of Dariga Nazarbayeva, who wanted to appoint her men and plunder all the natural resources still available (for example, the gold mines) – in other words, those that had not yet been grabbed by her father. Viktor Khrapunov objected to this. For years, he felt that his uncompromising attitude towards everyone, including members of the presidential family, was accepted and respected by the President himself. During his years in Eastern Kazakhstan, he felt the winds were changing. He understood that history would repeat itself and that, as in Almaty, he would never be left to do what he wanted. This intuition was confirmed in January 2007. The President called him unexpectectedly to offer him the job of Minister of Emergency Situations. Viktor Khrapunov refused. He argued that he was already a Minister, and that the job offered to him was of limited scope and without interest. He reminded the President also that, given what had happened to the first two people who took this job (Nurkadilov was assassinated ; Kulmashonov, after a shuffle, was forever excluded from politics in the country), he did not consider this Ministry as a promotion… He finally explained that the recovery program in the region of Eastern Kazakhstan was very promising, and that he wanted to stay there another three years to ensure its sustainability. But the President imposed his will: Viktor Khrapunov resisted as long as he could, but once again, he understood that he had no other choice but to submit and leave his seat as Governor.
In January 2007, Viktor Khrapunov left Eastern Kazakhstan to move back to the capital, where the President appointed him Minister of Emergency Situations. With some specialists, Viktor Khrapunov sifted through the existing system of prevention and resolution of emergency situations (natural and man-made disasters). He met with his Russian counterpart in Moscow ; he was inspired by systems in place in Belarus and Azerbaijan. In the summer of 2007, he had a new, improved plan approved by the government, one that was adapted to the size of the country and the many challenges it faced.
During his brief stint at the head of this Ministry, Viktor Khrapunov had to handle three major crises: in the spring, rising water resulting from the thaw of the river Syr-Darya; in the summer (July 15, 2007), the derailment in Ukraine of a Kazakh train transporting yellow phosphorus which caught fire and was very slowly consumed; again in the summer (September 6, 2007), the decontamination of a wide perimeter in the region of Karaganda following a failed launching of the rocket “Proton” carrying a Japanese satellite.
On October 29, 2007, Viktor Khrapunov delivered his letter of resignation to Nursultan Nazarbayev. On November 1, 2007, he met with the President, who allowed him to leave the country to seek medical treatment abroad. A few days later, Viktor Khrapunov arrived in Switzerland, where he has remained ever since.
Academic titles:
2007: Lecturer at the Technical University of Eastern Kazakhstan. Teaching on the economic and political development of Kazakhstan. Director of research.
Member of the International Academy of Energy (Degree 95 on January 24, 1995).
Member of the International Academy of Engineering, based in Almaty (Degree 92 on June 27, 2003).
Member of the Academy of Security, Defense and Law Enforcement (Degree 8011 on October 19, 2005).
Elected Offices:
From 1973 to 1978: President of the Council of Young Specialists of the Almaty Thermal Powerhouse.
From 1975 to 1977: Secretary of the Komsomol Committee of the Almay Thermal Powerhouse.
From 1986 to 1989: Board Member of the Communist Party Committee of the Leninsky District of the City of Almaty.
From 1989 to 1991 : Member of the Municipal Committee of the Communist Party of the City of Almaty.
From 1989 to 1991 : Member of the Communist Party Committee of the Region of Almaty.
From 1989 to 1991: Member of the Central Committee of the Communist Party.
From 1991 to 1994: Deputy of the Supreme Soviet of Deputies of the People of Kazakhstan (Member of Kazakh Parliament).
From 1986 to 1997 : several times, Deputy of the Communal and Municipal Council of People’s Deputies.
Distinctions:
Since 1983, Viktor Khrapunov’s name has been on the board of honor of the Almaty Thermal Powerhouse.
In 1994, he was named Best Workshop Head in the City of Almaty.
From 1995 to 2007, he received several medals.
In 2000, he was awarded the Parasat Order.
From 2000 to 2005, six years in a row, Viktor Khrapunov was designated “Personality of the Year” in the category of the best mayors.
In 2002, he was designated “Statesman of the Year”.
In 2004, he was decorated by the Patriarch of all Russias Alexis II of the Order of the Holy Prince Daniel.
Decorated by the Order of the National Olympic Committee.
In 2005, he received the Order of First President of the Republic of Kazakhstan, as well as the Order of Peter the Great. In the same year, he was elected “Best Akim (mayor) of the Year” in the category “Introduction of New Technologies”.
Honorary Titles:
Honorary Citizen of the City of Almaty.
Honorary Citizen of the Region of Almaty.
Honorary Citizen of the City of Turkestan.
Honorary Professor at the National Technical University of Kazakhstan (April 14, 1998).
Honorary Doctorate Degree in Law from the Academy at the Ministry of Interior of the Republic of Kazakhstan (September 30, 1999).
Honorary Doctorate in Economics from the State University of Almaty Abay (June 7, 2000).
Honorary Professor of the National Academy of Legal Sciences of Kazakhstan (October 11, 2000).
Badge of Merit for the development of Physical Education and Sports (September 27, 2005).
Eminent Sports Personality of the Republic of Kazakhstan (August 11, 2005).
Translation - German Am 26. November 1997 legt Viktor Khrapunov seine Doktorarbeit über die wirtschaftlichen Reformen der Stadt Almaty im Übergang zur Marktwirtschaft vor und erhält vom wissenschaftlichen Rat der Nationalen Akademie der Verwaltung von Almaty die Promotion (Doktorand Ph.D.). In den folgenden Jahren verfasst er seine Habilitationsschrift, in der er das gleiche Thema vertieft. Am 4. Oktober 2000 legt er dem wissenschaftlichen Rat derselben Akademie seine zweite Arbeit vor und wird endgültig mit dem Doktortitel in Wirtschaftswissenschaften ausgezeichnet.
Am 8. Dezember 2004 führt Präsident Nazarbayev ein Telefongespräch mit Viktor Khrapunov. Er drückt lebhafte Besorgnis in Bezug auf Kasachstans östliche Region aus, die unter schlimmen wirtschaftlichen und industriellen Problemen leidet. Der Präsident schmeichelt dem Bürgermeister von Almaty, sagt ihm, dass nur ein erfahrener Krisenmanager wie er, ein politisches Schwergewicht, ein Mann mit makellosem Ruf, ein unermüdlicher Reformer, der vor keiner Schwierigkeit zurückschrecke, die Lage in dieser Provinz verbessern könne. Der Bürgermeister von Almaty zögert. Der Präsident bleibt beharrlich und erklärt, dass der Auftrag nur ein Jahr dauern werde. Viktor Khrapunov sieht ein, dass er keine Wahl hat. Am nächsten Morgen wird er zum Gouverneur der östlichen Provinz Kasachstan ernannt. Auf dem Papier wird es als Beförderung dargestellt. Unter den gegebenen Umständen war das Ziel dieser Umsetzung, Viktor Khrapunov außerhalb der Gefahrenzone zu bringen, damit er die Kreise nicht stören konnte. Als er weg ist, ist Almaty dem unersättlichen Appetit der Familie Nazarbayev hilflos ausgeliefert. Innerhalb weniger Monate hat die Stadt ihre Infrastruktur an den niedrigsten Bieter verkauft. Diejenigen, die an der Stelle des ehemaligen Bürgermeisters arbeiteten, konnten triumphieren.
Von Dezember 2004 bis Januar 2007, nach 35 in Almaty verbrachten Jahren, kehrt Viktor Khrapunov wieder in seine Heimatregion zurück. Als er seine neue Tätigkeit antritt, liegt die Provinz auf dem letzten Platz aller offiziellen Rankings, mit denen Städte und Provinzen verglichen und kategorisiert werden. Der Gouverneur macht sich an die Arbeit: Er meistert Krisen, investiert in die Infrastruktur der Energieversorgung, schafft die Bürokratie im Zusammenhang mit der Neugründung von Unternehmen aus dem Weg, fördert den Wohnungsbau und den Wiederaufbau der Nahrungsmittelindustrie u.v.m. Vorteil seiner isolierten Lage an der Landesgrenze: Er hat freie Hand, um sich für Reformen für das Wohl der Bevölkerung einzusetzen.
Die Folgen waren schon bald für die Einwohner der Provinz spürbar. Ihr tägliches Leben verbesserte sich. Seine Arbeit bringt ihm offizielle Anerkennung ein. Nach einem Jahr in dieser Funktion steigt die Region auf den dritten Platz des vormals zitierten Rankings. Parallel dazu sinkt Almaty, das vorher den ersten Platz belegt, auf den siebten Platz. Nach seinem zweiten Jahr in der Provinz belegt die Provinz den zweiten Platz der Rangliste. Während das Desinteresse des Präsidenten an dieser Provinz dem Gouverneur viel Handlungsspielraum lässt, ist dieser jedoch die ganze Zeit über dem Druck von Dariga Nazarbayeva, der Tochter des Präsidenten, ausgesetzt, die diese Region als ihre Hochburg betrachtet.
Die Spannungen mit der Präsidententochter reichen bis in seine Zeit als Bürgermeister von Almaty zurück. Viktor Khrapunov weigert sich, auf Anweisung von Dariga die Wahlurnen zu füllen, und verhindert die Übernahme aller Sitze der von Dariga neu gegründeten Partei bei den Wahlen von 2004. Das nimmt Dariga ihm sehr übel. Damals erklärte sie erstmals öffentlich, dass Viktor Khrapunov ihr schlimmster Feind sei. Auch im östlichen Kasachstan weigert sich Viktor Khrapunov, sich Dariga Nazarbayevas Willen zu unterwerfen, die dort ihre Männer einsetzen wollte, um alle natürlichen, noch verfügbaren Ressourcen zu plündern (zum Beispiel Goldminen) – mit anderen Worten diejenigen Reichtümer, die sich ihr Vater noch nicht angeeignet hatte. Viktor Khrapunov stellt sich ihr entgegen. Einige Jahre hindurch hat er den Eindruck, dass seine kompromisslose Haltung allem gegenüber, einschließlich der Mitglieder der Präsidentenfamilie, vom Präsidenten selber akzeptiert und respektiert wird.
Während des in Ost-Kasachstan verbrachten Zeitraums spürt er, dass der Wind sich dreht. Er merkt, dass die Geschichte sich wiederholen wird und dass man ihn, genau wie in Almaty, niemals tun lassen wird, was er möchte. Seine Intuition bestätigt sich im Januar 2007. Der Präsident ruft ihn überraschend zu sich, um ihm den Posten des Ministers für Krisen und Notsituationen anzubieten. Viktor Khrapunov lehnt ab. Er argumentiert, dass er bereits Minister sei und der vorgeschlagene Posten von geringerer Bedeutung und für ihn uninteressant sei. Er erinnert auch daran, dass dieses Ministeramt hinsichtlich des Schicksals der beiden Vorgänger in dieser Funktion (Nurkadilov wurde ermordet; Kulmachanov wurde als Folge einer Versetzung definitiv aus dem politischen Leben abgedrängt) kaum als Beförderung betrachtet werden kann.… Schließlich erklärt er, dass das Aufbauprogramm für die östliche Region Kasachstans sehr vielversprechend sei und dass er drei weitere Jahre dort bleiben möchte, um eine nachhaltige Wirkung sicher zu stellen. Aber der Präsident setzt seinen Willen durch: Viktor Khrapunov wehrt sich mit allen Mitteln, aber ein weiteres Mal sieht er ein, dass er keine andere Wahl hat, als sich zu fügen und seinen Sitz als Gouverneur aufzugeben.
Im Januar 2007 verlässt Viktor Khrapunov Ost-Kasachstan und kehrt in die Hauptstadt zurück, wo ihn der Präsident zum Minister für Notsituationen ernennt. Gemeinsam mit Spezialisten filtert Viktor Khrapunov das existierende System zur Prävention und Lösung von Notsituationen (Naturkatastrophen und menschliche Notfälle). Er trifft seinen russischen Kollegen in Moskau; er lässt sich von Modellen inspirieren, die in Weißrussland und Aserbaidschan in Kraft sind. Im Sommer 2007 wird ein neuer Aktionsplan von der Regierung genehmigt, überarbeitet und an die Größe des Landes und die vielfältigen zu meisternden Herausforderungen angepasst.
Während seines kurzen Gastspiels an der Spitze dieses Ministeriums muss Viktor Khrapunov drei große Krisen bewältigen: Im Frühjahr der durch Tauwasser über die Ufer steigende Fluss Syr-Daria; im Sommer (15. Juli 2007) die Entgleisung eines kasachischen Zuges mit in Feuer geratenem gelben Phosphor, das nur sehr langsam verebbte; ebenfalls im Sommer (6. September 2007) die Dekontamination einer ausgedehnten Fläche der Region Karaganda als Folge einer gestarteten „Protonen“-Rakete, die einen japanischen Satelliten transportierte.
Am 29. Oktober 2007 übergab Viktor Khrapunov Noursoultan Nazarbayev sein Rücktrittsschreiben. Am 1. November 2007 trifft er sich mit dem Präsidenten, der ihm erlaubt, das Land zu verlassen, um sich im Ausland gesundheitlich behandeln zu lassen. Einige Tage später kommt Viktor Khrapunov in die Schweiz, die er seitdem nie wieder verlassen hat.
Akademische Titel:
2007: Lehrbeauftragter an der Technischen Universität von Ost-Kasachstan. Lehre über die wirtschaftliche und politische Entwicklung Kasachstans. Ausrichtung in Forschungsarbeit.
Mitglied der Internationalen Akademie für Energie (Diplom Grad 95 vom 24. Januar 1995).
Mitglied der Internationalen Akademie für Technik und Maschinenbau in Almaty (Diplom Grad 92 vom 27. Juni 2003).
Mitglied der Akademie für Sicherheit, Verteidigung und Ordnung (Diplom Grad 8011 vom 19. Oktober 2005).
Politische Ämter:
Von 1973 bis 1978: Vorsitzender des Rats junger Spezialisten im Wärmekraftwerk von Almaty.
Von 1975 bis 1977: Sekretär des Komsomol-Komitees des Wärmekraftwerks von Almaty.
Von 1986 bis 1989: Vorstandsmitglied des Komitees der Kommunistischen Partei im Bezirk Leninsky (Stadt Almaty).
Von 1989 bis 1991: Vorstandsmitglied des Gemeinderats der Kommunistischen Partei der Stadt Almaty.
Von 1989 bis 1991: Ausschussmitglied der Kommunistischen Partei der Region Almaty.
Von 1989 bis 1991: Mitglied des Zentralkomitees der Kommunistischen Partei.
Von 1991 bis 1994: Abgeordneter des Obersten Sowjets der Volksdeputierten von Kasachstan (Mitglied des kasachischen Parlaments).
Von 1986 bis 1997: Wiederholte Male Mitglied des Gemeinderates der Volksabgeordneten.
Auszeichnungen:
Seit 1983 steht der Name Viktor Khrapunov auf der Ehrenliste des Wärmekraftwerks von Almaty.
1994 wird er zum besten Werkstattchef der Stadt Almaty ernannt.
Von 1995 bis 2007 erhält er mehrere Medaillen.
2000 wird er mit dem Orden Parasat ausgezeichnet.
Von 2000 bis 2005 wird Viktor Khrapunov sechs Jahre in Folge zur „Persönlichkeit des Jahres“ in der Kategorie der besten Bürgermeister ernannt.
2002 wird er als „Staatsmann des Jahres“ geehrt.
2004 wird ihm vom Patriarchen von ganz Russland, Alexis II, der Orden des Prinzen St. Daniel verliehen.
Ausgezeichnet mit dem Orden des Nationalen Olympischen Komitees.
2005 erhält er den Orden des Ersten Präsidenten der Republik Kasachstan, sowie den Orden Peter der Große. Im selben Jahr wurde er zum „besten Akim (Bürgermeister) des Jahres“ in der Kategorie Einführung neuer Technologien ernannt.
Ehrungen:
Ehrenbürger der Stadt Almaty.
Ehrenbürger der Region Almaty.
Ehrenbürger der Stadt Turkestan.
Professor honoris causa der Nationalen Technischen Universität Kasachstan (14. April 1998).
Doktor honoris causa in Rechtswissenschaften an der Akademie des Innenministeriums der Republik Kasachstan (30. September 1999).
Doktor honoris causa in Wirtschaftswissenschaften der staatlichen Universität von Almaty Abay (7. Juni 2000).
Professor honoris causa der Nationalen Akademie für Rechtswissenschaften von Kasachstan (11. Oktober 2000).
Verdienstabzeichen für die Entwicklung von Körperkultur und Sport der Republik Kasachstan (24. November 1998).
Verdienstabzeichen Tourismus und Sport (27. September 2005).
Ehrenpersönlichkeit im Sport der Republik Kasachstan (11. August 2005).
French to German: Compromis de vente General field: Law/Patents Detailed field: Law: Contract(s)
Source text - French Les parties ci-après nommées, devant conclure entre elles un avant-contrat portant sur la vente d’un bien immobilier, ont été informées par le rédacteur des présentes que la forme sous seing privé du présent avant contrat ne leur permettra pas de le faire publier au service de la publicité foncière.
En conséquence, si l’une des parties refuse ou est devenue incapable de réaliser ou de réitérer la convention par acte authentique, l’autre partie ne pourra pas faire inscrire les présentes directement au fichier immobilier afin de conserver son droit et de le rendre opposable aux tiers, préalablement à toute décision de justice.
Les parties averties de cette situation déclarent néanmoins persister dans la conclusion entre elles d’un acte sous signatures privées.
Par suite, en cas de refus ou d'incapacité de l'une des parties, un procès-verbal authentique avec l'acte sous signatures privées pour annexe pourra, à la requête de l'autre partie, être dressé afin de constater cette défaillance, sans pour autant conférer une authenticité à l'acte ainsi annexé.
Ce procès-verbal pouvant alors être publié au fichier immobilier dans l'attente d’une décision judiciaire.
Translation - German Die nachstehend genannten Parteien schließen miteinander einen Vorvertrag für den Verkauf einer Immobilie ab und wurden vom Verfasser dieses Schriftstücks vor Vertragsabschluss informiert, dass diese private Vereinbarung nicht in Anzeigen für Grundstücke sowie Immobilien veröffentlicht werden darf.
Das bedeutet folglich, wenn eine der Parteien ablehnt oder nicht in der Lage ist, den Vertrag in die Tat umzusetzen oder die Übereinkunft als Kaufabschluss zu wiederholen, kann die andere Partei den vorliegenden Vertrag nicht direkt im Grundbuch eintragen, um ihr Recht gegenüber Dritten vor jeglichem Rechtsbeschluss geltend zu machen.
Die Parteien wurden über diese Sachlage unterrichtet und erklären, dass sie davon abgesehen an der miteinander geschlossenen Vereinbarung auf der Grundlage einer privaten Übereinkunft festhalten:
In der Folge kann im Fall einer Weigerung oder Unfähigkeit einer der Parteien ein Protokoll (Niederschrift) der privaten Vereinbarung im Anhang auf Antrag der anderen Partei vorgelegt werden, um dieses Versäumnis (diese Nichteinhaltung) zu belegen (bescheinigen), ohne jedoch die Echtheit des im Anhang beschriebenen Vertrags zu bestimmen. Dieses Protokoll (Niederschrift) kann daher im Grundbuch in Erwartung einer gerichtlichen Entscheidung veröffentlicht werden.
English to German: Manual Check Valve OM Detailed field: Engineering (general)
Source text - English 2. Product description
• The main purpose of the valves is to isolate fluid flow through pipeline (shut-off Valves).
• If anything is unclear at the time of installation, start-up or during use, and not covered in these instructions, the departments of the “TERMOVENT” SC should be contacted directly in order to obtain the required support.
All valves manufactured in “TERMOVENT” SC are marked with following marks:
Identification of manufacturer (“TERMOVENT” SC logo);
Nominal diameter of valve DN (mm) or NPS (inch);
Nominal pressure (PN) or Class rating (#);
Material designation of body and bonnet;
Body and bonnet melt identification/heat number;
Trim identification- material grade for stem, disc and seat;
Unique serial number;
Arrow mark for allowable direction of flow;
Maximum allowable pressure at maximal temperature
Date of manufacture (month and year) ;
The product standard designation : i.e. EN 13709, BS 1873, API 623 or API 602;
Pipe ends flanges and body/bonnet flanges grooved for ring joints and the rings to be used with them shall be marked with corresponding ring number;
CE marking (if it is manufactured in accordance with PED 97/23/EC(PED 2014/68/EU));
Other marks in accordance with customer request or product standard.
Fig. 1 Part name
Table 1.
Pos. Part Name Quantity Spare Parts
1 Body 1
2 Bonnet 1
3 Disc* 1
4 Stem 1
5 Stem Nut 1
6 Stud Bolts **
7 Nuts **
8 Bonnet Gasket 1 Yes
9 Stem Packing 1 Yes
10 Handwheel 1
11 Gland Bolts 2
12 Gland Nuts 2
* 3-relief disc, 3a-disc, 3b-perforated control plug, 3c-parabolic control disc
Translation - German 2. Produktbeschreibung
• Der Hauptzweck der Ventile besteht darin, den Flüssigkeitsstrom durch die Rohrleitung zu isolieren (Absperrventile).
• Wenn zum Zeitpunkt der Installation, Inbetriebnahme oder während des Gebrauchs etwas unklar ist und nicht in dieser Anleitung behandelt wird, sollten Sie die Abteilungen des SC „TERMOVENT“ direkt kontaktieren, um die erforderliche Unterstützung zu erhalten.
Alle in „TERMOVENT“ SC hergestellten Ventile sind folgendermaßen gekennzeichnet:
Identifizierung des Herstellers (Logo „TERMOVENT“ SC);
Nenndurchmesser des Ventils DN (mm) oder NPS (Zoll);
Nenndruck (PN) oder Leistungsklasse (#);
Materialbezeichnung von Gehäuse und Ventiloberteil;
Identifizierung der Gehäuse- und Ventiloberteil-Schmelznummer;
Trimmidentifikation - Materialqualität für Spindel, Scheibe und Sitz;
Individuelle Seriennummer:
Pfeilmarkierung für zulässige Durchflussrichtung;
Maximal zulässiger Druck bei maximaler Temperatur
Herstellungsdatum (Monat und Jahr);
Die Produktstandardbezeichnung: d.h, EN 13709, BS 1873, API 623 oder API 602;
Rohrendenflansche und Gehäuse- Ventildeckelflansche, die für Ringverbindungen gerillt sind, und die damit zu verwendenden Ringe sind mit der entsprechenden Ringnummer gekennzeichnet:
CE-Kennzeichnung (wenn gemäß PED 97/23 / EG (PED 2014/68 / EU) hergestellt);
Andere Marken gemäß Kundenwunsch oder Produktstandard.