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English to French: Israël - Palestine : l'enfer des checkpoints
Source text - English We pass by a refugee camp. No tents, but houses with big black water-tanks on their roofs. The camp has been here since 1948, but the recently constructed extension of the Wall dividing Israel and the Palestinian territories has given it a new view – a bleak one, from the Palestinian perspective. As we drive on, we see places where work on the Wall is still in progress. Could it be true what we are seeing? ‘Yes,’ says Rama as she looks straight ahead. ‘Palestians are the ones actually building the wall that imprisons them. Cheap labour you know.’
Translation - French Nous passons à côté d'un camp de réfugiés. Il n'y a pas de tentes mais des maisons avec des gros réservoirs d'eau sur les toits. Le camp existe depuis 1948 mais la récente extension du mur séparant Israël des territoires palestiniens donne une toute autre perspective à l’endroit. Alors que poursuivons notre périple, nous apercevons des endroits où le mur est encore en construction. « Ce sont les Palestiniens qui construisent le mur qui les emprisonne. C'est une main d'œuvre moins coûteuse, » explique Rama.
Italian to French: Le cinéma participatif en 3D
Source text - Italian È stato ideato da un gruppo di giovani artisti provenienti da tutta Europa e non solo, chiamato Orange Team, e ha visto i natali ad Amsterdam (le tante papere meccaniche che affollano il corto sono proprio un omaggio alla città olandese). Bassam Kurdali, regista e membro del gruppo, ci spiega di cosa si tratta.
"Open source" e "open movie": può spiegarci queste espressioni?
Gli open source sono programmi diffusi insieme al codice sorgente e licenze che ne permettono la distribuzione anche con modifiche. Con open movie ci riferiamo soprattutto alla fase distributiva del prodotto: il film può essere copiato, modificato e redistribuito perché i codici sorgente del film sono accessibili a chiunque. Anche nella fase di produzione il gruppo base di lavoro era aperto a contributi esterni, soprattutto per quanto riguarda le texture.
Translation - French L'idée d’un 7ème art accessible à tous, est venue d'un groupe de jeunes artistes européens, regroupés sous l’étiquette d’’Orange Team’. Le film est né à Amsterdam et Bassam Kurdali, réalisateur et membre de ce collectif, nous en parle.
’Open source’ et ‘open movie’ : que signifient ces expressions ?
Les ‘Open sources’ sont des logiciels dont le code source est disponible sur le web et dont la licence permet la diffusion ainsi que les modifications. Quand on parle d'’open movie’, on se réfère surtout à la phase de distribution du produit : le film peut être copié, modifié et redistribué à l’infini parce que les codes sources du film sont accessibles à tous. Même pendant la phase de production, le groupe de travail à l’origine du film était ouvert à des contributions extérieures, surtout concernant les textures.
Italian to French: Elie Barnavi : "L'Europe frigide"
Source text - Italian «Le cattedrali e i roghi, lo spirito universalista e la schiavitù, le meraviglie dell’arte barocca e l’Inquisizione, la ragione scientifica e i processi alle streghe, il progresso e la guerra totale, la democrazia e la burocrazia, il sogno di fraternità e i gulag, Beethoven e Auschwitz, Beethoven ad Auschwitz. Cosi va l’Europa, la testa tra le stelle e i piedi nel sangue».
Aspetto Elie Barnavi al Cafe litteraire, nel VI° arrondissement di Parigi. Libri rilegati in cuoio e divani in pelle. Un po’ troppo. Ottobre, e Parigi, che gioca con le stagioni, regala un po’ di sole in mezzo a una settimana invernale. Quando Barnavi arriva mi chiede si spostarci in giardino. Vuole fumare la pipa. Questo signore, che è nato a Bucarest nel 1946, si è trasferito a Tel Aviv a 12-13 anni ed è oggi cittadino israeliano. Qual è la sua lingua materna? «Con mia madre parlavo rumeno. Con mio padre ebraico e russo, anche se ora l’ho dimenticato». Ma i libri che pubblica in Francia li scrive francese. E il francese di Barnavi – letto da un’italiana – è ricco e poetico e difficile: ricorda Barthes o March Bloch.
Translation - French « Les cathédrales et les bûchers, l’universalisme et l’esclavage, les merveilles de l’art baroque et l’inquisition, la raison scientifique et les chasses aux sorcières, le progrès et la guerre totale, la démocratie et la bureaucratie, le rêve d’une fraternité et les goulags, Beethoven et Auschwitz, Beethoven et Auschwitz. Ainsi est l’Europe, la tête dans les étoiles et les pieds dans le sang. » J’attends Eli Barnavi au Café littéraire, dans le 6e arrondissement de Paris. Je suis entourée de livres reliés de cuir et de divans en peau. Il y en a un peu trop. Octobre, et Paris qui joue avec les saisons, offre quand même un brin de soleil au milieu d’une semaine hivernale.
Quand Barnavi arrive, il me demande si nous pouvons aller dans le jardin. Il veut fumer sa pipe. Ce monsieur, né à Bucarest en 1946, est arrivé à Tel Aviv vers 12 ans. Il est aujourd’hui citoyen israélien. Sa langue maternelle ? « Avec ma mère, je parlais roumain. Avec mon père hébreux et russe, même si je l’ai oublié aujourd’hui. » Mais les livres qu’il publie en France, il les écrit en français. Et le français de Barnavi, lu par moi, une Italienne, est riche, poétique et difficile : il fait penser à Barthes ou Marc Bloch.
English to French: Des amoureux de Bucarest venus de Chine et du Moyen-Orient
Source text - English In flawless Romanian, Nawfal describes his conviction that the Arab community is one of the most diverse. He feels that people from the 27 EU states know a lot more about the Arab world than his fellow citizens. ‘Romanians should be given the chance to learn more about our culture in order to better understand our concepts, traditions and solidarity. For example, Romanian television could present more documentaries explaining the Arab world,’ argues the small-time businessman, who married a Romanian woman.
Nawfal believes that Romania’s new status as one of the youngest EU member states is a positive change, since visas are no longer required in order to travel from one country to another. He admires European values, our respect for justice, laws and the human being. However, in Romania, ‘they don’t always respect the same European laws and there is too much bureaucracy.’ Issues that exist for non-natives like him include getting a driving license - the theory and practical exams are only available in Romanian, whereas in the UK for example there are options to take the tests with voice-overs and translators, for example from Urdu for the non-native Pakistani community.
Translation - French Dans un roumain parfait, Nawfal nous parle de ces convictions. Pour lui, la communauté arabe est une des plus diversifiées. Il a l'impression que les Européens des 27 autres Etats en connaissent beaucoup plus sur les Arabes que ses concitoyens. « Les roumains devraient avoir l'opportunité d'en savoir plus sur notre culture afin de mieux comprendre nos concepts, nos traditions et notre sens de la solidarité. La télévision roumaine pourrait par exemple présenter davantage de documentaires sur le monde arabe » pense le petit homme d'affaires, marié à une roumaine.
Nawfal pense que l'entrée récente de la Roumanie dans l'Union Européenne est un changement positif, étant donné que les visas pour voyager d'un pays à l'autre ne sont plus nécessaires. Il admire les valeurs européennes, la justice, le respect des lois et des êtres humains. Seulement, en Roumanie, « ils ne respectent pas les lois européennes et il y a trop de bureaucratie. » Les obstacles qui existent pour les personnes qui n'ont pas la nationalité roumaine sont nombreux. Ainsi, passer le permis de conduire s'avère être une vraie gageure: la théorie et la pratique ne sont disponibles qu'en roumain. Au Royaume Uni, par exemple, il existe des possibilités pour passer les tests avec des commentaires et des traducteurs. La communauté pakistanaise passe par exemple les examens en urdu.