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May 24 (posted viaProZ.com): I am a specialist in the grammatical interpretation of technical terms. Despite the frequent ambiguity of legal terms, I find the equivalent in the target language. This is primarily due to my in-depth legal knowledge, but I also benefit from my many years of experience and the extensive terminology databases and translation memories that I have been able to build up over the years. During my translation studies, I specialized in evaluating machine translation models. This knowledge is essential when using machine translation and CAT tools to ensure terminology consistency at all times....more »
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French to German: Indemnité forfaitaire de recouvrement Detailed field: Law (general)
Source text - French Indemnité forfaitaire de recouvrement
L'article 121 de la loi no 2012-387 adoptée le 22 mars 2012, est venu apporter de nouvelles mentions devant obligatoirement figurer dans les conditions générales de vente et les factures relatives aux frais de recouvrement des créances non payées à leur date d’échéance.
La Loi impose au client qui réglerait après l’échéance le paiement d’une indemnité forfaitaire de recouvrement d’un montant de 40 euros, en compensation des frais de recouvrement engagés par le vendeur. Ce montant est fixe et est applicable à chaque facture en retard de paiement. Comme pour les pénalités de retard, cette indemnité est due de plein droit sans qu’une relance du vendeur soit nécessaire.
Modalités de l'indemnité forfaitaire de frais de recouvrement
Elle n’est pas soumise à la TVA et n’a pas à être facturée. Si elle se cumule aux pénalités de retard, elle n’est pas inclue dans l’assiette de calcul de ces dernières. Le créancier ne peut toutefois invoquer le bénéfice de ces indemnités lorsque l'ouverture d'une procédure de sauvegarde, de redressement ou de liquidation judiciaire interdit le paiement à son échéance de la créance qui lui est due (article L441-6 Code de Commerce).
Champ d'application : les opérations domestiques (DOM-TOM compris mais ne concerne pas l'export) de l’ensemble des entreprises soumises à la Loi française (vente de marchandises, de produits finis ou de services). Elle n’est applicable qu’aux professionnels. Les particuliers ne sont pas concernés et ne peuvent avoir à payer cette indemnité. Le champ d'application est donc le même que celui de la LME.
Bien que son montant ne puisse faire frissonner d’effroi un mauvais payeur, l’indemnité forfaitaire de recouvrement est payable pour chaque facture en retard de paiement. Le montant dû peut devenir intéressant pour le vendeur, et contraignant pour l’acheteur, en fonction du nombre de factures en retard. Additionné au montant des pénalités de
retard, le « package » réclamé au mauvais payeur est dissuasif, dès lors qu’il est réclamé clairement.
Comment la mettre en œuvre ?
Les conditions générales de vente et les factures doivent les intégrer depuis le 1er janvier 2013. C’est obligatoire. En cas d’absence de mention sur les factures, l’amende prévue par l'article L441-4 est de 75 000 euros. En cas d’absence de mention dans les CGV, l’amende prévue par l'article L441-6 est de 15 000 euros.
Si on peut douter de la réelle application de ces amendes, le vendeur a tout intérêt à les insérer :
• Elles le crédibilisent en démontrant son professionnalisme en étant à jour des obligations légales,
• Elles « annoncent la couleur » sur le sérieux du recouvrement effectué par le vendeur,
Elles permettent d’exiger clairement leur paiement en cas de retard, ce qui contribuera à « éduquer » l’acheteur à payer en temps et en heure.
Translation - German Mahnpauschale
Gemäß Artikel 121 des Gesetzes Nr. 2012-387 vom 22. März 2012 müssen neue Hinweise im Zusammenhang mit Gebühren zur Einziehung von fälligen, unbezahlten Forderungen in den Allgemeinen Geschäftsbedingungen und Rechnungen verpflichtend aufgeführt werden.
Nach dem o.a. Gesetz ist der säumige Käufer verpflichtet, dem Verkäufer eine pauschale Einziehungsgebühr in Höhe von 40 Euro zum Ausgleich der Inkassogebühren zu bezahlen. Dieser fixe Betrag ist für jede fällige Rechnung geschuldet. Da es sich um eine Verzugsstrafe handelt, hat der Verkäufer automatisch Anspruch auf die Entschädigung; eine Mahnung ist dazu nicht erforderlich.
Bedingungen der pauschalen Entschädigung für Einziehungsgebühren
Die Entschädigung unterliegt nicht der Mehrwertsteuer und muss nicht in Rechnung gestellt werden. Im Falle von vorherigen Verzugsstrafen bleibt sie von deren Berechnungs-grundlage unberücksichtigt. Der Verkäufer kann diese Entschädigungen jedoch nicht fordern, wenn wegen der Eröffnung eines Schutz-, Insolvenz- oder Liquidations-verfahrens die Bezahlung des ihm aus der fälligen Forderung zustehenden Betrages ausgeschlossen wird (Artikel L441-6 des Handelsgesetzbuches „Code de Commerce“).
Anwendungsbereich: Inlandgeschäfte (dazu zählen auch nicht den Export betreffende Geschäfte aus Übersee-gebieten) von Unternehmen, die französischem Recht unterstehen (Verkauf von Handelsgütern, Ganzfabrikaten oder Dienstleistungen). Die Anwendung erfolgt nur unter Berufsleuten. Privatpersonen sind davon nicht betroffen und müssen diese Entschädigung nicht leisten. Der Anwendungs-bereich ist also mit demjenigen des Gesetzes zur Modernisierung der Wirtschaft LME („loi de modernisation de l’économie“) identisch.
Auch wenn ihre Höhe einen säumigen Käufer nicht vor Angst erzittern lässt, ist die pauschale Entschädigung für Einziehungen für jede in Verzug geratene Begleichung einer Rechnung zu bezahlen. Dies kann für den Verkäufer eine interessante Steigerung des geschuldeten Betrages zur Folge haben, der für den Käufer bindend ist, entsprechend der Anzahl der in Verzug geratenen Rechnungszahlungen.
Umsetzung
Ab dem 01. Januar 2013 muss in den Allgemeinen Geschäfts-bedingungen und Rechnungen auf diese neue Bestimmung zwingend hingewiesen werden. Fehlt ein solcher Hinweis auf der Rechnung, beträgt die Geldstrafe gemäß Artikel L441-4 75.000 Euro. Fehlt er in den Allgemeinen Geschäfts-bedingungen, sieht Artikel L441-6 eine Geldstrafe in Höhe von 15.000 Euro vor.
Man kann zwar an der tatsächlichen Umsetzung dieser Geld-strafen zweifeln, dennoch hat ein Verkäufer großes Interesse daran, die Hinweise einzusetzen:
• sie zeigen auf, dass der Verkäufer bezüglich aktueller rechtlicher Verpflichtungen à jour ist und wirkt dadurch glaubwürdig und professionell
• er macht damit auf die Ernsthaftigkeit der durch ihn erhobenen Forderungseinziehung aufmerksam
Sie erlauben zweifelsfrei, ihre Bezahlung im Falle eines Verzugs einfordern zu dürfen, wodurch der Käufer dazu „erzogen“ werden soll, die Rechnungen fristgerecht zu bezahlen.
French to German: Eidgenössisches Justiz- und Polizeidepartement EJPD "Notrecht" Detailed field: Law (general)
Source text - French Inhalt des Berichts
Le présent rapport, élaboré en réponse au postulat 23.3438 « Recours au droit de nécessité », étu-die, sur la base de cas d’ordonnances de nécessité prises ces dernières années, les bases juri-diques et les limites du droit de nécessité ; il aborde les thèmes du contrôle de ce dernier, des autres solutions envisageables et de sa reprise en droit ordinaire.
[…]
La partie principale du rapport sera consacrée aux bases (ch. 8) et aux limites (ch. 9) du droit de nécessité. Les art. 184, al. 3, et 185, al. 3, de la Constitution (Cst.) habilitent le Conseil fédéral, à certaines conditions, à prendre des ordonnances et des décisions de nécessité (ch. 8.1). Il existe cependant aussi des dispositions de lois spéciales applicables en cas de crise, par lesquelles le Par-lement charge le Conseil fédéral de maîtriser les situations particulières ou extraordinaires (ch. 8.2). On se posera aussi la question de savoir si le Conseil fédéral peut déroger aux lois en vigueur et aux dispositions de la Cst. et du droit international lorsqu’il édicte du droit de nécessité (ch. 9).
[…]
Terminologie
La notion de « droit de nécessité » n’apparaît pas dans la Constitution. Elle s’est cependant impo-sée dans la doctrine et la jurisprudence . Par « droit de nécessité », on entend généralement les ordonnances et les décisions que le Conseil fédéral adopte en se fondant sur les art. 185, al. 3, et 184, al. 3, Cst., en cas de troubles existants ou imminents menaçant gravement l’ordre public, la sécurité extérieure ou la sécurité intérieure. Le droit de nécessité comprend aussi les ordonnances et les arrêtés fédéraux simples que peut édicter l’Assemblée fédérale dans des circonstances ex-traordinaires (art. 173, al. 1, let. c, Cst.). On parle d’« ordonnances de nécessité » et de « décisions de nécessité » . La clause générale de police de l’art. 36, al. 1, Cst. a un lien étroit avec la compé-tence constitutionnelle du Conseil fédéral d’édicter du droit de nécessité . Elle permet de s’affranchir de l’exigence d’une base légale, même en cas de restriction d’un droit fondamental, en cas de danger sérieux, direct et imminent. L’art. 185, al. 3, Cst. représente la délégation de compé-tence explicite du recours à la clause générale de police par le Conseil fédéral. Celle-ci fait donc pendant, pour les droits fondamentaux, à la compétence du Conseil fédéral en matière de droit de nécessité. Outre la compétence conférée par la Constitution au Conseil fédéral, il existe de plus en plus souvent dans les lois fédérales des dispositions spéciales applicables dans des situations de crise. Dans le contexte du présent rapport, on peut aussi les considérer comme du droit de néces-sité au sens large.
Il s’agit là du droit de nécessité fondé directement sur la Constitution (dit « intraconstitutionnel »), qu’il convient de distinguer du droit de nécessité édicté sans base constitutionnelle (dit « extra-constitutionnel ») : l’art. 185, al. 3, Cst. forme la base du droit de nécessité intraconstitutionnel mais non pas du droit de nécessité « proprement dit », soit le droit de nécessité extraconstitution-nel . Selon le rapport de la CIP-N du 5 février 2010 concernant l’initiative parlementaire 09.402 « Sauvegarde de la démocratie, de l’État de droit et de la capacité d’action dans les situations ex-traordinaires » , ce dernier présuppose une situation d’urgence menaçant l’existence même du pays.
Translation - German Inhalt des Berichts
In diesem Bericht werden anhand der in den letzten Jahren erlassenen Notverordnungen die Rechtsgrundlagen und Grenzen des Notrechts zur Beantwortung des Postulats 23.3438 «An-wendung von Notrecht» untersucht. Er setzt sich mit der Kontrolle des Notrechts, weiteren möglichen Lösungen sowie mit dessen Übernahme ins ordentliche Recht auseinander.
[…]
Der Hauptteil des Berichts befasst sich mit den Grundlagen (Ziff. 8) und Grenzen (Ziff. 9) des Not-rechts. Gemäss Art. 184 Abs. 3 und 185 Abs. 3 der Bundesverfassung (BV) ist der Bundesrat unter bestimmten Voraussetzungen ermächtigt, Notverordnungen und Notverfügungen zu erlassen (Ziff. 8.1). Gleichwohl gibt es spezialgesetzliche Regelungen für den Krisenfall, wonach das Parlament den Bundesrat zur Bewältigung besonderer oder ausserordentlicher Lagen beauftragt (Ziff. 8.2). Es wird zudem der Frage nachgegangen, ob der Bundesrat beim Erlass von Notrecht von geltenden Gesetzen bzw. von Bestimmungen der BV und des Völkerrechts abweichen darf (Ziff. 9).
[…]
Terminologie
Der Begriff «Notrecht» wird in der Verfassung nicht verwendet. In der Lehre und Rechtsprechung hat er sich hingegen durchgesetzt . Unter «Notrecht» versteht man im Allgemeinen die Verordnun-gen und Verfügungen, welche der Bundesrat auf der Grundlage der Art. 185 Abs. 3 und 184 Abs. 3 BV bei eingetretenen oder unmittelbar drohenden schweren Störungen der öffentlichen Ordnung oder der inneren oder äusseren Sicherheit erlässt. Das Notrecht umfasst auch Verordnungen und einfache Bundesbeschlüsse, welche die Bundesversammlung aufgrund ausserordentlicher Um-stände erlassen kann (Art. 173 Abs. 1 Bst. c BV). Man spricht von «Notverordnungen» und «Notver-fügungen» . Die polizeiliche Generalklausel von Art. 36 Abs. 1 BV steht in engem Zusammenhang mit der verfassungsrechtlichen Kompetenz des Bundesrates, Notrecht zu erlassen . Besteht eine ernste, unmittelbare und nicht anders abwendbare Gefahr, erlaubt sie ohne gesetzliche Grundlage sogar Einschränkungen von Grundrechten. Die Übertragung der expliziten Kompetenz für die An-wendung der polizeilichen Generalklausel durch den Bundesrat erfolgt nach Massgabe von Art. 185 Abs. 3 BV, also analog zur Zuständigkeit des Bundesrates für das Notrecht betreffend Einschrän-kungen von Grundrechten. Neben der verfassungsrechtlichen Kompetenz des Bundesrates gibt es in Bundesgesetzen zunehmend besondere Bestimmungen, die in Krisensituationen anwendbar sind. Diesem Bericht zufolge können sie auch als Notrecht im weiteren Sinn betrachtet werden.
Das soeben beschriebene, direkt auf die Verfassung gestützte Notrecht (sog. «intrakonstitutionel-les Notrecht») ist vom Notrecht zu unterscheiden, das ohne verfassungsrechtliche Grundlage erlas-sen wird (sog. «extrakonstitutionelles Notrecht») : Art. 185 Abs. 3 BV bildet die Grundlage für das intrakonstitutionelle Notrecht, nicht aber für das «eigentliche», das extrakonstitutionelle Notrecht . Laut dem Bericht der SPK-N vom 5. Februar 2010 über die parlamentarische Initiative 09.402 «Wahrung von Demokratie, Rechtsstaat und Handlungsfähigkeit in ausserordentlichen Lagen» setzt letzteres eine für das Land existenzbedrohende Notlage voraus.
German to French: LG München I, Verfügung vom 19.01.2016 – 6 AR 5/15, 6 AR 6/15 General field: Law/Patents Detailed field: Law (general)
Source text - German 1. Die alleinige Anwendung der Vorschriften über die Akteneinsicht aus der StPO auf Auskunftsbegehren der Presse und Datenbanken ist nach der jüngsten Entscheidung des BVerfG zu diesem Themenkomplex (vgl. openJur 2015, 17889) nicht mehr haltbar.
2. Öffentliche Datenbanken sind bei der Frage, ob dort veröffentlichungswürdige Gerichtsentscheidungen eingestellt werden dürfen, anderen Presseorganen, die solche Entscheidungen veröffentlichen oder in ihrer Berichterstattung verwerten wollen, gleichzustellen.
3. Ein berechtigtes Interesse des Datenbankbetreibers ergibt sich schon aus dem Interesse an der Veröffentlichung einer Entscheidung, die von allgemeinem Interesse, also veröffentlichungswürdig, ist.
Tenor
Auf Ersuchen des Herrn B... B... vom 29.09.2015, wiederholt durch Anforderung vom 31.10.2015 wird dem Antragsteller eine anonymisierte Urteilsabschrift des Urteils der Strafkammer vom 20.12.2011 gegen H. und M., Nebenbeteiligte Fa. F... AG, übersandt sowie eine anonymisierte Abschrift des Bussgeldbescheids im Verfahren betreffend die Nebenbeteiligte M... AG.
Gründe
I.)
Anfragen von Presse und Datenbanken auf Herausgabe von anonymisierten Entscheidungen in strafrechtlichen Angelegenheiten wurden bisher immer nach den §§ 474 ff. StPO behandelt. Nach rechtskräftigem Abschluss des Verfahrens wurden die Antragsteller an die Staatsanwaltschaft verwiesen. (vgl. § 478 Abs. 1 Satz 1 StPO)
Die Anwendung der strafprozessualen Vorschriften über Auskunftsbegehren der Presse und von Datenbanken war stets umstritten. Die alleinige Anwendung der Vorschriften über die Akteneinsicht aus der Strafprozessordnung ist nach der jüngsten Entscheidung des Bundesverfassungsgerichts zu diesem Themenkomplex (vgl. Bundesverfassungsgericht -1 BvR 857/15 - Entscheidung vom 14.09.2015) nicht mehr haltbar. Vielmehr haben den presserechtlichen Auskunftsanspruch nach Art. 4 BayPrG und den grundgesetzlichen Anspruch auf Veröffentlichung von veröffentlichungswürdigen Gerichtsentscheidungen die Gerichte als Justizverwaltungsaufgabe zu erfüllen.
Diesbezüglich wurde nun in einer gemeinsamen Dienstbesprechung der Präsidenten der Landgerichte und Leitenden Oberstaatsanwälte am 21./22.10.2015 in Kloster Ettal eine Verständigung dahingehend getroffen, dass für die Übersendung anonymisierter Urteilsabschriften bei Anfragen der Presse sowie bei Anfragen von juristischen Datenbanken eine Zuständigkeit der Gerichte anzunehmen ist.
Translation - French 1. Le droit de la presse et des bases de données à la communication du dossier s’appuie exclusivement
sur les dispositions de l’accès aux documents du code de procédure pénale, ce qui n’est plus défendable selon la décision récente de la Cour constitutionnelle fédérale allemande relative à ce sujet (cf. openJur 2015, 17889).
2. Dans le fait de savoir si une décision judiciaire à communiquer doit être publiée dans les bases de données publiques, ces dernières sont assimilées aux organes de presse qui ont l’intention de publier une telle décision et de la prendre en compte dans leurs informations.
3. L’intérêt de l’opérateur d’une base de données à publier une décision est déjà justifié lorsque celle-ci relève de l’intérêt général et, par conséquent, mérite d’être publiée.
Teneur
Sur requête de M. B… B… du 29 septembre 2015, réitérant sa demande le 31 octobre 2015, une expédition de la décision de justice anonymisée de la condamnation contre H. et M. ainsi que pour complicité par assistance de Fa. F… SA, prononcée le 20 décembre 2011 par la chambre correctionnelle, est transmise au demandeur de même qu’une expédition de la décision de justice anonymisée de l’ordonnance pénale pour complicité par assistance de M… SA.
Motifs
I.)
Des demandes de la presse et des bases de données à l’édition des décisions anonymisées à propos des affaires pénales étaient auparavant soumises aux conditions des §§ 474 et suiv. du code allemand de procédure pénale (StPO). Dès le moment de la clôture des débats, les demandeurs étaient renvoyés au ministère public. (cf. § 478 al. 1, 1ère phrase du code allemand de procédure pénale)
Attendu que l’évaluation d’une demande à la communication du dossier sur le fondement des règles du code de procédure pénale a toujours été controversée, la Cour constitutionnelle fédérale a récemment décidé que l’utilisation exclusive des dispositions du code de procédure pénale concernant le droit d’accès au dossier (cf. Cour constitutionnelle fédérale – 1 BvR 857/15 – décision du 14 septembre 2015) n’est dès lors plus supportable. Contrairement à la pratique antérieure, ce seront les tribunaux dans leur fonction d’administration de la justice qui devront décider non seulement sur le droit à l’information de la presse selon art. 4 de la loi bavaroise sur la presse (BayPrG), mais aussi sur le droit constitutionnel à l’information du public en ce qui concerne les décisions judiciaires importantes qui méritent d’être publiées.
Dans ce contexte, un accord a été conclu lors d’une réunion des présidents des tribunaux régionaux et des procureurs généraux qui a eu lieu le 21/22 octobre 2015 au monastère d’Ettal, prévoyant que les expéditions anonymisées d’une décision de justice sur requête de la presse et des bases de données juridiques soient une matière qui relève de la compétence des tribunaux.
French to German: Pourquoi la rémunération des RTT varie-t-elle ? General field: Law/Patents Detailed field: Law (general)
Source text - French La réduction du temps de travail des salariés est un phénomène continu depuis le milieu du XIXe siècle. L’OCDE explique cette tendance « en partie » du fait de « gains de productivité réalisés ». Les « RTT », devenues en France une abréviation générique de réduction du temps de travail, sont en fait liées à la réduction et à la flexibilisation de la durée collective légale du travail, instaurée en janvier 2000.
Certaines entreprises ont choisi de réduire la durée collective du travail à 35 heures hebdomadaires. D’autres ont maintenu leur horaire de travail antérieur. D’autres encore ont préféré réduire l’horaire collectif de travail applicable dans l’entreprise tout en le maintenant à un niveau supérieur à 35 heures.
En compensation, ces entreprises ont choisi d’allouer aux salariés des jours de repos dits de « RTT ». La loi Aubry avait, en effet, introduit une grande flexibilité dans la gestion des horaires collectifs de travail. Elle a, de la sorte, notamment posé la première pierre du développement massif d’accords collectifs d’entreprise et de la pratique du « lissage du salaire » sans paiement de majorations des heures supplémentaires !
Ce droit des RTT a été régulièrement amendé, ajusté, complété. Il est aussi alimenté par de nombreuses décisions des tribunaux saisis des questions les plus diverses résultant notamment de la stratification de normes légales, de situations inédites mais aussi souvent de la piètre qualité rédactionnelle ou de règles alambiquées issues des négociations collectives.
Rappel au principe
La Cour de cassation a ainsi été amenée à se prononcer sur l’assiette de calcul du maintien de salaire de ces jours dits de « RTT ». Des salariés reprochaient à leur employeur de n’avoir retenu que la partie fixe de leur rémunération et non la partie variable, en l’occurrence des primes de vente. L’employeur faisait valoir que, à défaut de disposition conventionnelle sur ce point, aucun texte légal ne lui imposait de maintenir la rémunération antérieure, qu’elle soit fixe ou variable.
Translation - German Das Phänomen von immer kürzer werdenden Arbeitszeiten der Erwerbstätigen existiert bereits seit dem 19. Jahrhundert. Laut der Organisation für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (OECD) ist die Ursache dieser Tendenz «teilweise» mit der «Realisierung einer gesteigerten Produktivität» zu erklären. Mit der all-gemein bekannten Abkürzung «RTT» bezeichnet man in Frankreich die Reduktion der Arbeitszeit, die auf die Verkürzung und Flexibilisierung der im Januar 2000 eingeführten Gesetze zur Regelung der Gesamtarbeitszeit zurückzuführen ist.
Einige Unternehmen entschlossen sich, die Gesamtarbeitszeit auf ein wöchentliches Pensum von 35 Stunden zu reduzieren. Andere hielten an der bisherigen Regelung der Arbeitszeit fest. Schliesslich gab es auch noch solche, die in ihrem Unternehmen eine Reduktion auf eine Gesamtarbeitszeit von mehr als 35 Stunden vorzogen.
Zur Kompensation entschlossen sich diese Unternehmen, ihren An-gestellten sogenannte «RTT»-Ruhetage zu gewähren. Dem Gesetz namens Aubry ist es zu verdanken, dass sich die Planung der Gesamtarbeitszeit bedeutend flexibler gestalten lässt. Es legte im Besonderen den Grundstein für Verhandlungen, die zum erfolgreichen Abschluss eines umfassenden Tarifvertrages der Unternehmen und zur Durchsetzung des regelmässigen Erwerbseinkommens führten, ohne zusätzliche Arbeitsstunden leisten zu müssen!
Dieses Recht auf Ruhetage wurde mehrmals abgeändert, angepasst und ergänzt. Mithin gab es Anlass zu zahlreichen Gerichtsentscheiden zu den unterschiedlichsten Fragen, namentlich über die Stratifizierung von Rechtsnormen, über völlig neue Ausgangssituationen, genauso oft aber auch über die sprachlich mangelhafte Qualität seiner Abfassung oder über komplizierte Vorschriften, die aus den Tarifverhandlungen hervorgingen.
Zur Erinnerung an den Grundsatz
Das Kassationsgericht hatte über die Grundlage der Berechnung für die Lohnfortzahlung im Zusammenhang mit diesen «RTT»-Ruhetagen zu entscheiden. Erwerbstätige warfen ihrem Arbeitgeber vor, lediglich die fixen Löhne zu berücksichtigen, hingegen die variablen Lohnanteile, wie zum Beispiel Verkaufsprämien, außer Acht zu lassen. Der Arbeitgeber machte geltend, dass er mangels konventioneller Bestimmungen zur Regelung dieses Sachverhalts gesetzlich nicht dazu verpflichtet sei, für frühere Lohnfortzahlungen aufzukommen, unabhängig davon, ob es sich um fixe oder variable Löhne handele.
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Translation education
Master's degree - Universität des Saarlandes
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Years of experience: 24. Registered at ProZ.com: Apr 2024. Became a member: May 2024.
English to German (Saarland University, verified) French to German (Saarland University, verified)
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Bio
Certified translation specialist in law and economics (particularly in finance) with extensive professional experience as a translator in English, French, and German. Over a decade of professional experience gained abroad, including in North Africa, the UK, and the USA. Passionate about foreign languages and cultures. I began specializing in translations in law and economics from the outset of my legal education. In addition to my specialized expertise, my professional background includes translating in medical and engineering fields, managing larger translation projects, creating and utilizing terminology databases and CAT tools, developing parallel corpora, and evaluating machine translation models. In my spare time, I am involved in a charity project for stray dogs and cats in Tunisia, a cause that is dear to my heart.
Keywords: French, English, German, translation, experience, law, certified, legal, finance, business. See more.French, English, German, translation, experience, law, certified, legal, finance, business, medicine, engineering, subtitling, post-editing, master in translation science and technology, evaluation of translation machine models, in-depth legal knowledge, licentiate in law. See less.