This site uses cookies.
Some of these cookies are essential to the operation of the site,
while others help to improve your experience by providing insights into how the site is being used.
For more information, please see the ProZ.com privacy policy.
Source text - French Les compartiments alternatifs adoptant des stratégies dites "alternatives" ("Hedge Funds") reposent sur l’hypothèse que les marchés financiers ne sont pas efficients et qu’il est donc possible d’exploiter certaines inefficiences constatées sur ces marchés sans pour autant augmenter les risques liés aux investissements. Les stratégies alternatives ont généralement recours à (i) des combinaisons de positions longues et de positions courtes (ventes à découvert), (ii) des instruments dérivés, parfois de façon substantielle et tant à titre de couverture qu’à titre spéculatif, et (iii) à des emprunts en vue de financer des investissements. Un levier financier important obtenu par le biais d’emprunts et de produits dérivés a pour effet d’accentuer, à la hausse comme à la baisse, les fluctuations des positions financières prises par le Conseiller. Le concept de "Hedge Funds" a fort évolué depuis le premier fonds créé dans les années 40. A l’heure actuelle, les stratégies alternatives adoptées par les "Hedge Funds" rassemblent une vaste gamme dont les profils de risque et les niveaux de performance varient fort de l’une à l’autre. Ces stratégies alternatives peuvent toutefois être regroupées dans les trois grandes catégories suivantes:
- « stratégies de valeurs relatives » : ces stratégies visent à exploiter des inefficiences de marchés et consistent essentiellement en des combinaisons de positions longues et courtes (par exemple, positions longues dans des titres sous-évalués et positions courtes dans des titres surévalués). Ces stratégies ont généralement une approche dite "neutre" à l’égard des marchés financiers dans la mesure où elles tendent à générer une performance positive, peu importe que les marchés soient orientés à la hausse ou à la baisse.
- « stratégies opportunistes » : ces stratégies visent à profiter de réactions attendues des cours dans des classes spécifiques d’actifs (par exemple des titres d’émetteurs situés dans des pays émergents).
- « stratégies événementielles » : ces stratégies sont conçues en vue d’exploiter des réactions attendues des cours à certains événements (par exemples, des fusions ou acquisitions)
Translation - English Sub-funds employing so-called alternative strategies and known as hedge funds are based on the assumption that financial markets are not efficient and that it is therefore possible to exploit certain inefficiencies observed in these markets without increasing investment risk. Alternative strategies usually involve (i) combinations of long positions and short positions (short selling), (ii) derivative instruments, sometimes to a substantial extent and as much to hedge as to speculate and (iii) borrowing to finance the investments. Significant financial leverage obtained through borrowing or derivatives will accentuate any fluctuations, up or down, in the positions taken by the Advisor.
The hedge fund concept has evolved quite a bit since the earliest funds of the 1940s. At the present time the alternative strategies adopted by hedge funds include a broad range of widely varying risk profiles and performance levels. These alternative strategies can, however, be grouped together under the following three broad categories:
- Relative value strategies: These strategies aim to exploit market inefficiencies and essentially consist of combinations of short and long positions--for example, long positions in undervalued securities and short positions in overvalued securities. These strategies usually have a ‘neutral’ approach with regard to the financial markets, in that they tend to perform positively regardless of whether the markets are heading up or down.
- Event-based strategies: These strategies are designed to exploit expected price reactions to specific events (for example, mergers or acquisitions).
- Opportunistic strategies: These strategies aim to profit from expected price movements in specific asset classes (for instance, securities of issuers located in emerging countries).
French to English: Financial report
Source text - French 2.2 Instruments financiers
XYZ Industries a décidé d’appliquer par anticipation les normes IAS 32 et IAS 39
dans son bilan d’ouverture et dans les comptes consolidés clos au 31 décembre
2004. Contrairement aux principes français tous les instruments financiers doivent être comptabilisés au bilan à leur juste valeur, qu’ils entrent ou non dans une relation de couverture ainsi qualifiable par la norme IAS 39. L’impact comptable des variations de juste valeur de ces instruments peut se résumer ainsi :
• Relation de couverture (pour la part efficace):
Impact en résultat pour les couvertures de « juste valeur »,
Impact en capitaux propres pour les couvertures de « flux futurs »,
• Pas de qualification de couverture et part inefficace d’une relation de couverture:
Impact en résultat
2.3 Options de ventes détenues par un minoritaire
Dans l’attente de la position définitive de l’IFRIC sur le traitement comptable à retenir pour ces opérations, un passif financier correspondant à la valeur actualisée du prix d’exercice de ces options a été constaté avec comme contrepartie une diminution des intérêts minoritaires et le solde en écart d’acquisition.
2.4 Correction des écarts d’acquisition
La juste valeur des intérêts minoritaires acquis en 2004 a été modifiée pour tenir compte des retraitements IFRS sur les bilans des sociétés acquises. Cela a entraîné une modification des écarts d’acquisition.
2.5 Amortissement des écarts d’acquisition
XYZ Industries amortissait ses écarts d’acquisition de manière linéaire. La norme IFRS 3 a supprimé l’amortissement des écarts d’acquisition et a instauré l’obligation d’effectuer des tests de dépréciation systématiques conformément à la norme IAS 36 révisée. La suppression de l’amortissement des écarts d’acquisition a donné lieu à un impact favorable sur le résultat de l’exercice 2004.
En contrepartie, XYZ Industries teste de manière systématique, tous ses écarts d’acquisition selon la méthode des flux de trésorerie futurs actualisés.
Translation - English 2.2 Financial instruments
XYZ Industries opted for early application of IAS 32 and 39, both on the opening balance sheet and on the consolidated statements closing December 31, 20NN. In contrast with French GAAP, all financial instruments must be carried on the balance sheet at fair value, regardless of whether they entail a hedging relationship under IAS 39. The accounting impact of changes to the fair value of these instruments may be summarized as follows:
• With a hedge: the effective portion of a fair value hedge impacts profit and loss, and a cash flow hedge impacts shareholders’ equity .
• Without a qualified hedge or for the ineffective portion of a hedge: the impact is on profit and loss.
2.3 Puts held by a minority owner
In anticipation of a final position by IFRIC on how to account for such transactions, a financial liability was recognized equal to the present value of the exercise price of these options, offset by a decrease in non-controlling interests, with the resulting balance carried as goodwill.
2.4 Adjustment of goodwill
The fair value of non-controlling interests acquired in 20NN has been changed in light of the acquired companies' IFRS-restated balance sheets. This has led to a change in goodwill.
2.5 Goodwill amortization
XYZ Industries used to amortize its goodwill on a straight-line basis. IFRS 3 has dropped goodwill amortization and introduced mandatory, systematic impairment tests in accordance with IAS 36 (revised).
Dropping goodwill amortization has had a favorable impact on 20NN net income.
Accordingly, XYZ Industries now systematically tests all its goodwill by the discounted cash flow method.
French to English: Accounting guideline
Source text - French Les prêts consentis à des conditions de marché ou hors marché
Le principe général d’enregistrement des prêts en IFRS est l’enregistrement à la valeur de marché, ce qui oblige à distinguer deux cas :
lorsque les prêts sont accordés à des conditions de marché, l’enregistrement se fait à la valeur nominale ;
lorsque les prêts sont accordés à des conditions hors marché, l’écart entre la valeur de marché et la valeur nominale est enregistré immédiatement en résultat. Les intérêts sont ensuite enregistrés au taux de marché et l’écart entre ces intérêts et ceux perçus en cash (donc au taux facial) vient progressivement modifier la valeur de marché du prêt afin que celle-ci soit bien égale à la valeur nominale au jour du remboursement.
Nota Bene :
Il existe des circonstances particulières dans lesquelles un prêt accordé à des conditions de marché ne fait pas l’objet d’un versement à sa valeur nominale (prêt acquis, structures spéciales, …).
Note pratique :
Les systèmes d’information des banques enregistrant habituellement les opérations au taux facial, on pourra pratiquement :
laisser le prêt s’enregistrer à la valeur nominale et les intérêts au taux facial.
enregistrer la différence entre valeur de marché et valeur nominale comme une surcote/décote que l’on étalera actuariellement sur la durée de vie de l’opération.
Les prêts accordés dans le cadre de l’activité bancaire courante sont généralement considérés comme accordés à des conditions de marché.
Afin de s’assurer que c’est bien le cas, on pourra utiliser des références comme des courbes de taux externes ou encore des barèmes commerciaux faisant référence à des courbes de taux externes.
A titre d’exemple, les cas dans lesquels on rencontrera des prêts conclus à des conditions hors marché peuvent être :
Les restructurations de dette dans lesquelles, suite à un défaut, on accorde un prêt de refinancement des créances antérieures à un taux inférieur à celui du marché. L’enregistrement immédiat en résultat de la différence valeur nominale – valeur de marché revient alors à constater en perte le différentiel actualisé entre les intérêts futurs à percevoir et ceux calculés au taux de marché. Cette perte sera souvent compensée par une reprise de provision pour créances douteuse antérieurement constatée.
Translation - English Loans issued at market and non-market rates of interest
The general principle for recognizing loans under IFRS is to recognize them at fair value, and this requires making a distinction between two cases:
When loans are issued at market rates of interest, they are recognized at face value; and
When loans are issued at non-market rates of interest, the difference between market value and face value is immediately carried to the income statement. Interest is then recognized at the market rate and the difference between such interest and the interest received in cash (thus at the nominal rate) will progressively adjust the market value of the loan so that by the discharge date it exactly equals the face value.
N.B.:
There are particular circumstances where a loan issued at a market rate is not repaid at face value, such as with purchased loans or structured notes.
A practical point:
Since the information systems at banks customarily record transactions at face value, one may as a practical matter:
let the loan be recorded at face value and the interest at the nominal rate,
and recognize the difference between market value and face value as a premium or discount which gets spread over the life of the loan on an actuarial basis.
Loans originated in the course of ordinary banking activity are generally deemed to have been issued at market rates.
To make sure that is indeed the case, you can apply benchmarks like yield curves from outside the bank or pricing schedules based on such yield curves.
As an example of loans provided at non-market rates, one common instance is
a debt restructuring where, subsequent to a default, a loan is provided that refinances the earlier credit at a below-market rate. Carrying the difference between face and market value directly to the income statement amounts to a write-off of the present-value differential between the interest payments now scheduled and those that had been calculated using market rates. This write-off will often be offset by reversing a previously recognized provision for doubtful loans.
More
Less
Translation education
Bachelor's degree - Yale University
Experience
Years of experience: 27. Registered at ProZ.com: Mar 2005.
Fort de mon expérience et de ma formation professionnelles je me suis spécialisé depuis 18 ans dans la traduction vers l'anglais américain courant de tout texte concernant la gestion et le financement de l'entreprise. Domaines: management, comptabilité, marketing, ressources humaines, planification stratégique, financement, organisation, immobilier, contrats Documents typiques: document de référence AMF, rapport de gestion, comptes annuels (IFRS notamment), rapport d'audit, commentaire boursier, présentations internes et externes, analyse de situations comptables, prospectus, expertises, conditions de vente ou d'achat, clauses administratives, contrats, marchés, communiqués de presse, discours
Clients représentatifs : Accenture, Addax Petroleum, Aéroports de Paris, Alcan, Alstom, AMF, Ares, BNP Paribas, Baker & McKenzie, Bolloré, Carmignac, Crédit Agricole, EDF, Fives, Générale de Santé, Google, Havas, Ipsos, Medica, Natixis, Orange, ORIAS, Peugeot Citroën, Publicis, Renault, Saint Gobain, Siemens, SNCF, Société Générale, Sonatrach, Stehlin & associés, Suez Environnement, Thomson AVA, Total, Véolia, White & Case Tom Weber est ancien consultant et homme d'affaires international, diplômé comme suit:
Master of Business Administration (1977) - Graduate School of Business Administration, Harvard University
Bachelor of Arts (1972) - ès lettres françaises - Yale University
Thomas Weber apporte à votre traduction une expérience directe des affaires, étant Vice-Président du deBarsy Group, où il participe à la promotion de jeunes entreprises technologiques, et ancien consultant international au sein du cabinet de conseil Arthur D. Little (Boston, Paris) et en indépendant, pour une gamme large d'industries.
_______________________________________________________________________
I put anything written in French about management and finance into idiomatic business English. Topics: management, accounting, marketing, human resources, strategic planning, finance, (re)organization, real estate, legal agreements Documents: annual reports, annual statements (especially IFRS), letters from management, operating reports, in-house and outside presentations, financial analyses, prospectuses, internal reports and studies, terms of sale or purchase, regulations, news reports, contracts, appraisals, speeches
A sample of my clients : Accenture, Addax Petroleum, Aéroports de Paris, Alcan, Alstom, the AMF, Ares, BNP Paribas, Baker & McKenzie, Bolloré, Carmignac, Crédit Agricole, EDF, Fives, Générale de Santé, Google, Havas, Ipsos, Medica, Natixis, Orange, ORIAS, Peugeot Citroën, Publicis, Renault, Saint Gobain, Siemens, SNCF, Société Générale, Sonatrach, Stehlin & associés, Suez Environnement, Thomson AVA, Total, Véolia, White & Case Tom Weber is a veteran consultant and international businessman, who holds the following degrees:
M.B.A.(1977) - Graduate School of Business Administration, Harvard University
B.A. (1972) - Yale University (Intensive Major, French Language and Literature)
I bring to your translation needs my first-hand experience as a consultant or executive, in both the U.S. and France, in management consulting (with The deBarsy Group, which accelerates technology ventures, and Arthur D. Little, Cambridge & Paris), in a host of sectors from chemicals (TexasGulf, a division of Elf Aquitaine) to advertising (Synergie Publicité, Paris).
This user has earned KudoZ points by helping other translators with PRO-level terms. Click point total(s) to see term translations provided.