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English to French: Letter to a city official
Source text - English Dear Mme Normandeau,
On behalf of the citizens of the Town of Baie d’Urfé and those of the other 14 reconstituted municipalities, I would like to thank you once again for having given us the opportunity to present our recommendations for a workable agglomeration for the island of Montreal at the parliamentary commission held last week.
During the course of question period, you asked for examples that would highlight situations whereby accessibility of data was not available to the reconstituted municipalities to make appropriate decisions.
In answer, I cited two examples:
1. the final budget documents delivered to the reconstituted municipalities after the media had received theirs.
2. the 41.3 million dollar credit that we should have received in the 2007 budget in the form of un crédit de taxes de .0217$ appliqué en 2007 pour les immeubles résiduels et .0742$ pour les immeubles non-residentiels (du 100$ d’évaluation)
Mr. Gerald Tremblay, mayor of Montreal, and Mr. Frank Zampino, chairperson of the Executive Committee and member responsible for Finance, challenged my statement regarding no. 2 “On n’a jamais vu le crédit que vous nous avez promis … Alors, est-ce qu'on va prendre un autre un an, deux ans, trois ans pour régler ce problème-là?” and I would like to take the opportunity to address this in writing with a little more coherence than by my somewhat- challenged verbal skills allowed.
Do you recall Mme le Ministre, that in a meeting with the mayors of the RM in June, 2006 you indicated that le remboursement apparaîtra à titre de crédit sur la facture de la taxe d’agglomération en 2007?
With your information in hand, we advised our citizens that in 2007 they would see a tax credit in their agglomeration tax bills. For Baie d’Urfé, the average tax credit was calculated to be in the amount of $68.35 for an average residence and $1410 for an average industrial company.
You can imagine Mme le Ministre how the mayors of the RM felt when we saw the 2007 budget for the first time in November, 2006 to find that the hard-fought tax credits that had been won for all the citizens in the agglomeration, at a considerable cost to our local municipalities for the forensic audit, had disappeared into the 2007 budget … one number in a budget of 2 Billion with no way to verify if the credit was truly given and no secretariat to help us with the analysis.
Adding insult to injury, Montreal dropped the budget in our laps and left us alone to discover the painful facts and to sort out the implications of the budget, a budget for which our citizens contribute 400 million dollars … while the media had an impressive contingent from the Zampino - Tremblay administration providing budget details and highlighting the benefits for the citizens of the City of Montreal.
Our citizens’ anger soon added to ours when they received their 2007 agglomeration tax bills only to find that your promised and much-anticipated tax reprieve for the previous year’s overtaxation was nowhere to be seen and that a sizeable new increase awaited them.
Outraged calls were made to the City of Montreal and to the Town of Baie d’Urfé inquiring about the stolen credits. Some of that anger may have also been falsely directed to you, Mme Normandeau as citizens felt that they had been robbed twice and that you were not doing anything to stop the abuse. Being told that it was included in the 2 Billion 2007 budget did little to alleviate their anger or their skepticism regarding the whole legitimacy of the budget process… first the 2006 (found to be fraudulent) and now the 2007.
Mme le Ministre, I strongly believe that if an agglomeration body with its own secretariat, distinct and separate, from the City of Montreal had existed, the decision you had made with regards to the contestation of the 2006 Budget would have been respected and delivered to the citizens as you had promised.
The independent body would have allowed us to be part of the budget process where the guiding principles for the 2007 budget would have been discussed and your directive would have been addressed as to its proper implementation. Moreover the secretariat would have coordinated a review of the budget by all the partners well in advance of the media to ensure that we were all aware of the budget implications in our respective territories. And we would all be certain today that the 2006 credit had really been delivered.
In closing, I stand by my statement that the tax credits deriving from the MAMR’s decision regarding the 2006 Budget over-taxation were never delivered to the citizens as promised. Our citizens have no real guarantee that they were delivered at all besides the line in a budget report that says so. With the current structure and lack of a secretariat, it make take years to unravel the mystery and by then we may be dealing with another new budget and the saga will repeat itself .
I am available to review the supporting documentation with you at your request.
Respectfully yours
Maria Tutino
Translation - French Montréal, 19 novembre 2007
Madame Normandeau,
Au nom des citoyens de Baie d’Urfé et de ceux des 14 autres municipalités reconstituées, j’aimerais vous remercier de nous avoir donné l’occasion de présenter nos recommandations pour une agglomération réalisable pour l’île de Montréal lors de la commission parlementaire tenue la semaine dernière.
Durant de la période de questions de cette commission, vous avez demandé des exemples de situations où les municipalités n’avaient pas accès à l’information nécessaire pour prendre des décisions éclairées.
J’ai cité deux exemples :
1. Les médias ont reçu copie des documents du budget final avant les municipalités reconstituées ;
2. les 43,1 M$ que nous aurions dû recevoir lors du budget 2007 sous la forme d’un crédit de taxes de .0217 $/100 $ d’évaluation appliqué en 2007 pour les immeubles résiduels et de .0742 $ pour les immeubles non résidentiels.
Le maire de Montréal, Monsieur Gérald Tremblay, et Monsieur Frank Zampino, président du conseil du comité exécutif et membre responsable des finances, ont appuyé mon deuxième exemple. « On n’a jamais vu le crédit que vous nous avez promis… Alors est-ce qu’on va prendre un autre un an, deux ans, trois ans pour régler ce problème-là? ». Je voudrais saisir l’occasion pour aborder ce problème par écrit avec un peu plus de cohérence que me l’ont permis mes aptitudes de communication verbale à ce moment-là.
Vous rappelez-vous qu’au cours de la réunion des maires des villes reconstituées en juin 2006, vous nous aviez dit que le remboursement apparaîtrait à titre de crédit sur la facture de la taxe d’agglomération en 2007 ?
Avec cette information que vous nous aviez donnée, nous avons avisé nos citoyens qu’il y aurait un crédit sur leur facture de taxes d’agglomération. Pour Baie d’Urfé, ce crédit équivalait en moyenne à 68, 35 $ pour une résidence et à 1410 $ pour une société industrielle.
Vous pouvez donc imaginer, Madame la Ministre, comment se sont sentis les maires de RM lorsqu’ils ont vu le budget 2007 pour la première fois, en novembre 2006, et qu’ils ont réalisé que les crédits fonciers avaient été engloutis dans le budget 2007. Ces crédits pour lesquels nous nous étions battus avec acharnement et que nous avions chèrement gagnés pour tous les citoyens de l’agglomération, ce qui a été fort coûteux pour nos municipalités locales au niveau de la vérification judiciaire. Ces crédits représentaient un chiffre enfoui dans un budget de deux milliards, et il n’y avait aucune manière de vérifier s’ils avaient vraiment été donnés ni personne pour nous aider à en faire l’analyse.
Pour ajouter l’insulte à l’injure, Montréal nous a laissés seuls avec ce budget pour que nous découvrions par nous-mêmes les faits décevants et que nous en analysions les impacts, alors que nos citoyens y contribuent 400 millions de dollars… Et pendant ce temps, une impressionnante délégation représentant l’administration Zampino-Tremblay gavait les médias des détails du budget et en soulignait les avantages pour les citoyens de la Ville de Montréal.
La colère de nos citoyens s’est peu après jointe à la nôtre lorsqu’ils ont reçu leur facture de taxes d’agglomération et découvert que le crédit pour les taxes payées en trop l’année précédente, un crédit que vous aviez promis et qui était tant attendu, ne s’était pas concrétisé et qu’une nouvelle hausse non négligeable les attendait.
La Ville de Montréal et la ville de Baie d’Urfé ont reçu des appels de citoyens furieux, demandant où étaient passés les crédits. Une partie de cette rage a pu être dirigée contre vous à tort, Madame Normandeau, car les citoyens avaient l’impression de s’être fait voler deux fois et croyaient que vous ne faisiez rien pour arrêter ces abus. Se faire dire que les montants avaient été inclus dans le budget de deux milliards de 2007 n’a pas apaisé leur fureur ni leur scepticisme au sujet de la légitimité du processus budgétaire. D’abord, celui de 2006 (déclaré frauduleux) et maintenant, 2007.
Madame la Ministre, je crois sincèrement que si un organisme d’agglomérations, avec son propre appareil administratif séparé et distinct de celui de la Ville de Montréal, avait existé, la décision que vous aviez prise au sujet du budget 2006 aurait été respectée et votre promesse livrée aux citoyens.
Un organisme indépendant nous aurait permis de faire partie du processus budgétaire au cours duquel nous aurions discuté des lignes directrices du budget 2007 et nous aurions abordé votre directive et la manière de l’implanter de façon appropriée. De plus, le secrétariat aurait coordonné une révision du budget par tous les partenaires bien avant que les médias mettent la main dessus afin de s’assurer que tous connaissent les implications du budget pour leur territoire. Et nous aurions tous été certains que le crédit de 2006 avait réellement été livré.
Pour conclure, je soutiens que les citoyens n’ont jamais reçu, tels qu’il a été promis, les crédits de taxes découlant de la décision du MAMR au sujet de la surtaxe du budget. Nos citoyens n’ont aucune garantie réelle que ces crédits ont été versés d’une manière quelconque, si ce n’est une ligne qui en fait foi dans le budget. Avec la structure en place et l’absence de secrétariat, il pourrait passer plusieurs années avant que nous n’élucidions le mystère et à ce moment, nous pourrions être en train de gérer un nouveau budget et l’histoire se répétera.
Je suis disponible pour passer en revue les documents justificatifs si vous le désirez.
Respectueusement,
Maria Tutino
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Hello,
I have started my career as a translator 3 years ago, but I have 9 years of experience in the advertising business. I currently translate and proofread tv and radio ads, billboards, and websites for major clients of several Montreal advertising agencies and communications firms, as well as more general and administrative documents. I also do localization for ads, and sometimes copywriting.
I have a translation certificate from McGill University, and a major in communications from Université de Montréal. I am a native French speaker based in Montreal, but willing to work for European companies.
I am very respectful of delays; I will deliver every assignment on time.
Thank you for considering hiring me!
Marie-Helene
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