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French to German: Les banques et le marché des changes General field: Bus/Financial Detailed field: Finance (general)
Source text - French A. Les banques et le marché de changes
Les banques constituent l’intermédiaire tout naturel entre l’offre et la demande de devises. La tâche principale du service des changes d’une banque est de permettre à la clientèle commerciale ou financière de convertir des avoirs libellés en une certaine monnaie en avoirs libellés en une autre monnaie. Cette conversion peut revêtir la forme soit d’une opération au comptant, soit d’une opération à terme. L’action des banques dans le domaine des devises tend inévitablement à établir un cours uniforme pour une devise donnée sur les principales places financières du monde. Si, à un moment donné, le cours d’une devise sur une certaine place s’écarte trop de la moyenne, l’arbitrage, c’est-à-dire la technique qui consiste à tirer profit des différences de cours sur les différentes places, aura tôt fait de rétablir l’équilibre. Le cambisme, on le voit, constitue dans un système monétaire libre un élément régulateur de première importance.
Translation - German A. Die Banken im Devisengeschäft
Die Banken sind die natürlichen Vermittler zwischen Angebot und Nachfrage von Devisen. Die Hauptaufgabe der Devisenabteilung einer Bank besteht darin, ihrer kommerziellen oder privaten Kundschaft die Umwandlung von Guthaben einer Währung in eine andere Währung zu ermöglichen. Dies kann durch Kassageschäfte (Comptantgeschäfte) oder durch Termingeschäfte geschehen. Die Tätigkeit der Banken auf dem Gebiet des Devisenhandels führt für eine bestimmte Devise zu einer einheitlichen Kursbildung auf den verschiedenen Finanzplätzen der Welt. Wenn nämlich auf irgendeinem Platz ein Kurs zu stark abweicht, wird der Ausgleich durch die Arbitrage (d.h. die Technik des Ausnützens von Kursdifferenzen auf verschiedenen Plätzen) wiederhergestellt. Wie man sieht, übt der Devisenhandel in einem freien Währungssystem eine äußerst wichtige regulierende Wirkung aus.
French to German: Der Goldstandard General field: Bus/Financial Detailed field: Finance (general)
Source text - French L’étalon - or
On appelle étalon - or le régime monétaire qui s’imposa ver 1880 et auquel le déclenchement de la Première Guerre mondiale mit fin. Il s’agissait essentiellement d’un système de parités fixes définies par référence à l’or, dont on distinguait deux formes principales : le Gold Specie Standard (étalon - or intégral) et le Gold Bullion Standard (étalon - or lingot). Sous le régime d’étalon - or intégral, le métal jaune ne servit pas uniquement d’instrument de règlement international propre à équilibrer les balances des paiements déficitaires : à l’intérieur des pays, en effet, seules les pièces d’or en circulation remplissaient les fonctions d’échanges et de paiement. Afin que l’or puisse s’acquitter de ces tâches, quatre conditions devaient être réunies : 1. La Banque centrale s’engageait à vendre et à acheter à un prix fixé n’importe quelle quantité d’or. 2. Chacun pouvait fondre de l’or et l’affecter à d’autres usages. 3. Les détenteurs d’or en lingots avaient le droit de faire frapper en pièces d’or, à l’Hôtel des monnaies, toute quantité voulue de métal précieux. 4. L’Importation et l’exportation d’or étaient libres.
Ainsi était garantie une identité permanente entre la valeur nominale et la valeur du métal contenu dans les pièces. Il va de soi que sous ce régime la liquidité dépendait pour l’essentiel de la production d’or et des besoins en métal de l’industrie. Dans le système de l’étalon - or lingot la masse monétaire en circulation était constituée en totalité ou en partie de monnaie de papier, l’or n’assumant plus dès lors qu’une fonction de réserve. Certes les billets restaient à tout moment convertible en or auprès de la banque centrale, mais il fallait s’attendre à ce qu’une certaine quantité de monnaie de papier ne soit jamais remboursée. Aussi la Banque d’émission n’avait - elle plus besoin de détenir une couverture - or complète. Cependant, plus on abaissait le taux de couverture, plus les possibilités de création monétaire de la Banque central diminuaient. C’est pourquoi la masse de papier - monnaie en circulation dépassait toujours les stocks de métal monétaire. Ce rattachement très étroit de toutes les monnaies à l’or avait des conséquences très précises sur le plan des mécanismes d’équilibre de la balance des paiements. On a parlé à cet égard de l’automatisme de l’étalon - or, qui s’exerçait grosso modo comme suit :
Translation - German Der Goldstandard
Als Goldstandard bezeichnet man die Währungsordnung, die sich um 1880 durchsetzte und mit Ausbruch des Ersten Weltkriegs ihr Ende fand. Ihr besonderes Kennzeichen bildet ein System von festen Wechselkursen, deren Paritäten zum Gold fixiert waren. Man unterscheidet dabei zwei Hauptformen: die Goldumlaufswährung und die Goldkernwährung. Im System der Goldumlaufswährung diente Gold nicht nur als anerkanntes Zahlungsmittel zum Ausgleich von auftretenden Zahlungsbilanzsalden, denn auch im Inland erfüllten ausschließlich umlaufende Goldmünzen die Tausch-und Zahlungsfunktion. Damit das Gold diese Aufgaben wahrnehmen konnte, waren vier Bedingungen erforderlich: 1. Die Zentralbank verpflichtet sich, jede Menge Gold zu einem festgesetzten Preis zu verkaufen oder anzukaufen. 2. Jedermann konnte Gold einschmelzen und einem anderen Verwendungszweck zuführen. 3. Die Besitzer von Barrengold besaßen das Recht, jede beliebige Menge Gold bei der Münzanstalt in Goldmünzen prägen zu lassen. 4. Ein- und Ausfuhr von Gold waren frei. Damit war die Gewähr gegeben, dass Nominalwert und Metallwert der Münzen stets übereinstimmten. Es versteht sich von selbst, dass in einem System der Goldumlaufswährung die Liquidität maßgeblich durch die Goldproduktion und den industriellen Goldbedarf bestimmt wurde. Im System der Goldkernwährung setzte sich die umlaufende Geldmenge zum Teil oder gänzlich aus Papiergeld zusammen. Die Aufgabe des Goldes reduzierte sich somit auf die Reservefunktion. Wohl konnte das Papiergeld jederzeit bei der Notenbank in Gold umgetauscht werden, nur war zu erwarten, dass eine gewisse Menge an Papiergeld nie eingelöst werde. Somit brauchte die Notenbank keine vollständige Golddeckung mehr zu halten. Je tiefer aber der Deckungssatz angesetzt wurde, desto größer fiel die Geldschöpfungsmöglichkeit der Währungsbehörden aus. Die umlaufende Menge an Papiergeld überstieg deshalb auch immer den Bestand an Währungsmetall. Die enge Bindung aller Währungen an das Gold hatte ganz spezifische Konsequenzen für den Mechanismus des Zahlungsbilanzausgleichs. Der so bezeichnete Automatismus des Goldstandards funktionierte in großen Zügen wie folgt: Ein Land mit defizitärer Zahlungsbilanz musste Gold abgeben, worauf sich die Geldmenge verkleinerte und eine Deflation eintrat.